Entretiens Manuels
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
fh,
fagée,
Collègues / Travail
laid(e)s,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdanus,
... s’approcha. Elle se trouvait laide. Elle avait pris du poids, dernièrement, et son cul trop moulé dans sa robe tendue lui donnait l’air obscène. Ses bottines à talons, qu’elle trouvait jusqu’alors distinguées, accentuaient l’indécence de sa posture, haussant ses fesses à hauteur d’homme. Elle se sentit également embarrassée par l’ensemble de dentelle noire qu’elle portait sous ses vêtements. C’était la seule fantaisie qu’elle se permettait et personne au bureau ne devait s’en douter. Elle ne voulait pas que ce soit mal interprété. Comment le string ajouré allait-il être perçu par monsieur le directeur, se demanda-t-elle car elle ne doutait plus qu’il allait la trousser. Le mot « pute » lui vint à l’esprit. Elle regretta de s’être trop maquillée ce matin. Mais l’homme ne la toucha pas. Il prit même un peu de recul pour contempler la femme qui s’offrait devant lui. Elle ondulait sa croupe, dodelinant d’un pied sur l’autre peut-être inconsciemment. Il savait qu’en suivant les mollets qui disparaissaient sous l’ourlet au niveau du genou, il atteindrait la peau douce et tendre d’une jolie paire de cuisses, et qu’au sommet primaient deux trous moites et béants que madame Dumont se préparait déjà à se faire défoncer. Elle se voulait soumise ? Elle allait le servir. Il resta immobile. Elle ne comprenait pas ce que l’homme attendait. Il aurait dû la prendre, la baiser, la violer. Elle l’aurait laissé faire. Mais il la regardait sans la toucher. À croire que l’observer dans cette ...
... position lui était suffisant. Désirait-il qu’elle bouge ? Qu’elle se trémousse un peu ? Elle en avait envie mais n’osait pas vraiment. Elle réalisa qu’elle en avait envie depuis longtemps, en fait. Exciter cet homme-là la mettait comme en transe. Elle voulait qu’il lui arrache sa robe et la domine. Est-ce qu’il n’osait pas ? Non, certainement pas son genre. Le directeur ose tout. Il voulait l’abaisser, c’était tout. Monique n’en pouvait plus. Sa fente avait fondu. S’il voulait voir son cul, et bien qu’il le regarde, et puis qu’on en finisse. Elle se redressa un peu et attrapa sa robe aux cuisses de chaque côté. Il ne fut pas surpris quand elle leva lentement l’arrière de sa robe. Cette femme était servile jusqu’à l’abnégation. Elle découvrit ses cuisses un peu dodues, à la peau fine et fragile comme prévu. Il retint sa respiration quand l’ourlet révéla la croupe de Monique. Un string noir minuscule en surlignait la pâleur de ses lanières dentelées. Madame Dumont était divorcée et, pour autant que le directeur sache, personne n’avait dû l’enculer depuis au moins trois ans. Il devina qu’elle en crevait d’envie à sa façon de tendre les fesses. En dévorant son cul des yeux, il attendit qu’elle continue. Monique en aurait pleuré, elle qui trouvait gênant de faire un strip-tease devant son mari. Se voir, elle, respectable, quémander une bite cul presque nul dans son bureau ! Elle était prête à tout pour que finisse cette humiliation. Tout pour que le directeur la baise maintenant, vite ...