Ma belle mère, mon succube
Datte: 22/09/2022,
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Vos histoires
... expériences, soumis et maitre, avec deux partenaires différentes et que nous avions poussé le jeu assez loin. Les bougies, fessées, vacbed et autres humiliations, j’en étais coutumier à une certaine époque. Je n’aurai certainement pas dû lui dire ce genre de chose, mais je ne pouvais me retenir, je voulais l’impressionner et qu’elle me désire autant que je l’avais toujours désirée.
Elle passait sa fine langue sur ses lèvres, et je sentais qu’elle jouait tout autant que moi. Son corps et ses tétons pointant au travers de sa robe ne pouvaient mentir. Après avoir parlé de ma vie sexuelle actuelle banale, mais plaisante, et de ma vie passée, je décidais à mon tour d’attaquer.
Sans détour je lui demandais si toute sa vie elle avait été une dominatrice. Elle me répondit par l’affirmative et c’est exactement ce que je voulais. Je n’eus pas besoin de réfléchir plus loin.
Je lui posai une seule question : avez-vous envie de passer de l’autre côté et de devenir pour la première fois la soumise à votre tour ?
Elle ne chercha pas d’excuse ou à faire durer la conversation, je la voyais se tortiller sur elle-même, frissonnant de plaisir, tout comme je voyais qu’elle essayait de cacher le fait que les allers et retours qu’elle effectuait sur sa poitrine ne servait pas à l’exciter en lui caressant le bout des seins.
Elle me répondit quasi immédiatement. Et je su dès lors qu’elle allait exaucer le moindre de mes désirs.
Je lui proposais donc de sceller notre lien maitre/soumis en ...
... immortalisant l’instant d’un point de vue sexuel et psychologique. Elle rentra instantanément dans ce jeu car elle me dit qu’elle n’avait pas son mot à dire, et que seul ma parole avait de l’importance.
Je la fis se mettre à genoux devant moi, et à voir son regard fixer la bosse de mon entre jambe je savais que j’allais prendre mon pied, car j’allais la priver de ce qu’elle voulait. Je lui intimai l’ordre d’ouvrir la bouche et elle s’exécuta aussitôt. Mes mains caressèrent son visage si longtemps convoité, qui était à présent mien, touchant sa peau mate et chaude, presque fiévreuse. Ses yeux d’ordinaires si perçants et joueurs étaient désormais affolés de plaisir. Je me redressai et rassembla ma salive, lorsqu’elle comprit ce que j’allais faire elle poussa un râle de soupir qui me fit frissonner de bonheur par sa puissance. Alors que je tenais son visage entre mes mains, fermement mais avec douceur, je déversais le contenu de ma bouche dans la sienne. Je vis sa langue se crisper, tentant vainement de saisir la moindre goutte de salive avant qu’elle ne disparaisse dans son œsophage. Elle était incapable de rester sur place, je pensais que c’était le résultat de l’inconfort de ses genoux nus sur mon carrelage froid, mais non, elle était occupée à se doigter... Aussitôt je l’ai rappelé à l’ordre en tirant sèchement en arrière ses longs cheveux noirs et en la regardant sévèrement.
A cet instant je savais que mentalement elle m’appartenait. Mais l’heure tournait et je devais ...