Ma belle mère, mon succube
Datte: 22/09/2022,
Catégories:
Vos histoires
... me dépêcher pour avoir le temps de réaliser ma dernière idée et envie.
Tirant plus fort sur ses cheveux je la fi se relever, et désigna du menton mon canapé. Je la voyais passer sa fine langue sur ses lèvres minces et strictes. Mon pénis n’allait pas pouvoir rester encore longtemps dans son boxer sans exploser. Et ça tombait bien….
Elle se cala bien dans le fond du divan et je tirai ses jambes vers moi afin de l’allonger un peu plus. J’étais certain qu’à cet instant elle voulait me sentir en elle, et son vagin débordant de mouille ne m’indiquait réellement pas le contraire. J’aurais aimé moi aussi, mais j’avais une bien meilleure idée en tête. Je la pris par la taille, sentant ses magnifiques poignets d’amour sous mes doigts, et remonta mes mains en caressant ses jambes, s’attardant quelques secondes sur la douceur de ses pieds. Elle voulut enlevée sa culotte mais j’exerçai une forte pression sur ses mollets qui lui fit reprendre conscience de sa place de soumise. Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, et j’entrepris de ramener sa culotte jusqu’à son coup de pied. Devant moi s’offrait désormais la vue que j’avais le plus désiré admirer de toute ma vie. Cette femme sublime, transpirant la sexualité et la séduction par tous les pores de sa peau était là, devant moi, jambes écartées prêtes à satisfaire mes moindres volontés. Son sexe était très beau, et j’eu envie d’y plonger afin d’en profiter de longues minutes.
Mais ce n’était pas le moment.
Je défis la boucle de ...
... ma ceinture et abaissa mon pantalon ainsi que mon boxer à mi-cuisses. Mon membre turgescent fut enfin libéré de son étreinte. Un énorme afflux de sang la fit gonfler de plaisir, et je me rendis compte que je n’avais que rarement été aussi excité.
Ma belle-mère ne put s’empêcher de se pincer les seins, tout en se caressant le bas du ventre, et je ne pouvais lui en vouloir compte-tenu des sentiments puissants que je ressentais à l’instant. Elle me complimenta sur ma verge, et me dit qu’elle était prête à l’accueillir en elle, que je pouvais y aller aussi violement que je voulais, car elle était ma chose, mon vide couille.
Etrangement je n’avais pas envie que cela se passe comme ça. Je savais que cela viendrait avec le temps, mais j’avais envie d’être doux et de lui montrer que je pouvais la dominer dans le respect et la confiance.
J’attrapais mon pénis de ma main droite et commença à me masturber. Elle parut perturbée au début, frustrée aussi de ne pas pouvoir être prise. Mais je lui expliquai enfin la seconde étape de mon plan.
Maintenant qu’elle m’appartenait je pouvais lui faire ce que je voulais quand je le voulais, mais à cet instant précis nous n’allions pas avoir de rapport sexuel. Je lui demandai deux choses.
La première : elle devait se doigter, et au moment de jouir s’arrêter net. Sa frustration, elle allait devoir l’éliminer à son tour sur son mari soumis. Mais à aucun moment elle n’allait pouvoir se faire du bien, car pour cela, elle allait devoir attendre ...