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Ma belle mère, mon succube
Datte: 22/09/2022, Catégories: Vos histoires
... notre prochain moment à deux. La seconde : J’allais jouir à l’intérieur de sa culotte, et elle allait devoir la garder le restant de la journée. Le soir venu, elle allait l’enlevée, et je lui donnai comme consigne de la faire manger par son mari. Bien entendu sans lui dire que ma semence s’y trouvait. Prononcer ces deux règles décupla mon plaisir, et le sien aussi visiblement. Je la vis s’arrêter brusquement avant de se tordre de droite à gauche, et je la félicitai pour avoir respecté notre premier engagement. Je ne tardai pas à venir moi aussi. De longs jets bien épais de sperme maculèrent sa culotte noire au point d’en imbiber très rapidement le tissu et de former une petite marre en son centre. Elle regarda avec avidité mon œuvre, mais comprit qu’elle ne pourrait pas y toucher. Je l’aidai délicatement à se remettre debout, remonta sa culotte sur son pubis et la vit presser dessus pour sentir mon liquide encore chaud contre son vagin en pleine ébullition. Désireux de lui donner un avant-gout de ce qui pouvait ...
... l’attendre, je lui proposai de nettoyer mon chibre avec sa bouche ce qu’elle accepta immédiatement. Même si cela ne dura que quelques secondes, je su immédiatement à quel point elle était douée. Elle se releva, jouant avec ce qu’elle venait de récolter sur le bout de sa langue. Elle me lança un regard de remerciement et je pris son visage pour l’embrasser. Nos langues s’entremêlèrent et pour la première fois j’eu le gout de mon sperme en bouche. Ce n’était pas si mauvais en fin de compte, mais le réel plaisir était de pouvoir gouter le baiser de cette sublime femme. Nous nous quittâmes de cette façon, elle avec ses paquets et ses sous vêtement remplis de mon liquide, moi attendant ma femme et mes enfants en pensant à ma prochaine séance avec ma maitresse. Le soir même, ma femme me dit avoir reçu un sms de sa mère, lui disant de me remercier pour les colis, et qu’elle avait fait gouter mon café à son mari et qu’il avait adoré ça. Elle était à moi désormais, et je n’avais plus qu’à attendre ma prochaine séance avec elle…