1. Douceurs polynésiennes


    Datte: 27/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Vos histoires

    	Je m’étais exilée quelques semaines avec une copine après une rupture sentimentale, sur l’ile de Moorea en Polynésie. 
    Y’a pas mieux pour oublier un salopard qui vous baise pendant un an en omettant de vous préciser qu’il est marié. 
    Heureusement les copines sont là ! Et quand vous avez du pognon et que vous leur proposez de vous accompagner sous les tropiques il est peu probable qu’on vous dise non !
    Mais revenons à notre histoire :
    Ce soir là, nous longions la plage, pataugeant dans l’eau tiède, lorsque je fus attirée par le comportement inhabituel d’un homme. Je donnai un coup de coude à Mélanie.
    — Regarde, je crois bien qu’il se masturbe.
    Elle tourna la tête.
    — Ouais, t’as raison. C’est glauque.
    — Pourquoi, glauque ? Moi j’aime bien.
    Nous continuâmes une centaine de mètres puis je lançai :
    — T’aimerais pas voir de plus près ? 
    Je n’attendis pas sa réponse. Je fis demi-tour puis obliquai pour m’approcher de l’homme. C’était un autochtone couvert de tatouage et particulièrement beau. Son sexe n’était pas très gros mais il semblait extrêmement dur. Je m’arrêtai quelques secondes pour l’observer impudiquement puis je m’approchai, me laissai tomber sur le sable près de lui, et saisis sa queue. 
    Je jetai un rapide coup d’oeil à Mélanie qui s’était rapprochée. Je souris puis je me concentrai sur la masturbation. Après quelques minutes, salope comme je l’étais (rassurez-vous messieurs, je le suis toujours !), je ne pus résister à l’envie de prendre sa bite dans la ...
    ... bouche. Elle était douce et chaude, et moi j’aimais faire ça. Dès ma première pipe j’avais aimé ! J’offris alors à ce beau Polynésien une fellation généreuse et gourmande qui nous régala tous deux. J’étais tellement appliquée, que je ne vis pas Mélanie s’approcher. Lorsque je réalisai sa présence elle était assise sur le sable, près de nous. J’allai lui proposer de participer lorsque je vis un splendide gaillard, arborant un sexe imposant, approcher. Sans un mot il s’allongea sur le sable, fit un clin d’oeil à son pote et commença à se masturber. Sa bite se dressa aussitôt et elle me fit immédiatement envie. Néanmoins je ne pouvais pas abandonner l’homme que je cajolais, d’autant que Mélanie, probablement excitée elle aussi n’avait pas attendue bien longtemps pour saisir le joli gourdin et le prendre en bouche. 
    Je repris mon ouvrage lentement car je ne voulais pas faire jouir mon partenaire trop vite. 
    La situation insolite, puissamment érotique dans ce décor paradisiaque m’excita terriblement. Mélanie devait être dans un état similaire, et 
    je relevai la tête un instant pour la regarder. Elle avait fermé les yeux et semblait sucer avec une telle gourmandise que je me demandai un instant si elle n’allait pas prendre son pied.
    Lorsqu’elle souleva les paupières, je lui murmurai :
    — On change ?
    Elle sourit puis libéra la superbe queue que je m’empressai aussitôt de gober. Nous essayâmes de nous accorder, tant bien que mal, et nous fîmes jouir les hommes quasiment en même ...
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