1. Douceurs polynésiennes


    Datte: 27/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Vos histoires

    ... temps. 
    Nous les abandonnâmes peu après sans qu’un seul mot eut été échangé et j’attrapai Mélanie par le bras pour l’entrainer dans la mer.
    — J’avais la culotte trempée, fis-je en éclatant de rire.
    — Je crois bien que moi aussi, avoua-t-elle en explosant à son tour. 
    Une heure plus tard, bien que j’eus pris ma douche, j’étais toujours excitée. J’enfilai mon peignoir et m’allongeai sur le lit de la chambre que nous louions. Elle vint me rejoindre peu après.
    — Je suis toujours excitée lui avouai-je.
    Elle se dressa sur un coude.
    — Je peux faire quelque chose ?
    — Hein ?
    — Non, rien.
    Elle se rallongea puis quelques minutes plus tard me caressa les cheveux sensuellement avant de passer son index sur mes lèvres. Ce fut une sensation étrange qui rapidement m’enveloppa et je frissonnai.
    — T’as froid ? Me demanda-t-elle.
    Je ne répondis pas et fermai les yeux de peur de devoir soutenir son regard. 
    Bientôt je sentis ses doigts dans l’encolure du peignoir… puis sa main qui glissa jusqu’à mon sein droit, tandis que de l’autre, quelques secondes plus tard elle dénouait ma ceinture. 
    J’avais peur d’ouvrir les yeux et de montrer l’émoi qui m’étreignit alors, et je restai immobile et m’abandonnai aux caresses de Mélanie qui referma les lèvres autour de mon téton. Je sentis le feu dans mon ventre et je ne résistai pas lorsqu’elle saisit ma bouche. Je me laissai aller, incapable de luter, et je goutai sa langue avec gourmandise. Je perdis la notion du temps sous ses lèvres ...
    ... chaudes et après ce qui me parut un temps trop court, elle laissa sa bouche courir sur mon corps, puis lorsqu’elle m’écarta les jambes, je ne cherchai pas à résister. Elle posa un baiser sur ma chatte humide, titilla mon clitoris en m’arrachant des cris de plaisir, puis elle porta les fesses à hauteur de mon visage et m’enjamba. Je sentis son odeur intime et je ne pus me soustraire à la tentation diabolique qui me fit embrasser une chatte pour la première fois de ma vie. Incendiée par le plaisir que me procurait Mélanie je suçai délicatement son clitoris tandis qu’elle me faisait jouir. Je dus m’interrompre un instant sous la force du tsunami puis je l’emportai à mon tour dans un orgasme explosif.
    Nous étions toutes deux apaisées et je fus confrontée à des sentiments déroutants tant je fus certaine que pour Mélanie aussi, c’était la première fois. 
    Nous n’en reparlâmes pas vraiment mais lorsqu’elle déclara un peu plus tard en se pomponnant :
    — Ça vaut quand même pas une bonne bite.
    J’acquiesçai et la rejoignis dans son rire franc et limpide. 
    Une bonne queue ? Nous espérions toutes deux en trouver une (chacune) dans notre pérégrination nocturne, ce qui arriverait très probablement car nous avions choisi de nous habiller comme de vraies salopes avec une simple robe extra courte qui nous couvrait à peine les fesses, sous laquelle, pour plus de commodités nous n’avions rien mis. Un oeil concupiscent n’aurait aucun mal à s’en apercevoir. 
    Lorsque nous nous dirigeâmes au bar de ...
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