1. Douceurs polynésiennes


    Datte: 27/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Vos histoires

    ... l’hôtel, Mélanie m’arrêta.
    — Regarde, ils sont là !
    Effectivement les beaux mâles que nous avions soulagés, étaient accrochés au comptoir.
    — On y va ou on en cherche d’autres ? Fis-je.
    Mélanie me regarda d’un oeil rieur.
    — J’ai envie de m’amuser. Alors on y va, on joue un peu et on se tire.
    — Comme des garces ?
    — Comme des garces. 
    Nous avançâmes lentement vers les hommes qui se levèrent pour nous accueillir. Ils nous offrirent deux tournées de « planteur » et en portant le second verre à mes lèvres, je vis Mélanie tâter l’entrejambe de l’homme à ses côtés, lequel réagit aussitôt en passant la main sous sa robe.
    — Pas de culotte les filles ? Demanda-t-il.
    — Ça nous irrite répondit Mélanie, mutine.
    Je m’attendais à me faire palucher à mon tour d’une seconde à l’autre, mais rien ! 
    Puis soudain je sentis ma robe se relever.
    — Beau cul, fit le tatoué.
    J’étais déstabilisée par la surprise de l’attaque et je ne pus dire que :
    — Merci.
    Ils étaient beaux, certes, et bien qu’ils nous fissent encore envie, nous y avions goûté sur la plage et nous avions besoin de changement.
    Mélanie, massa longuement l’entrejambe de l’homme qui fourrageait toujours sous sa jupe.
    — Wahou ! fit-elle en constatant que le membre de l’homme s’était totalement déployé.
    Ce dernier qui souhaitait sans doute une ambiance plus intime proposa :
    — On change de crèmerie ?
    — Ouais, répondit Mélanie mais on va se refaire une beauté avant. Tu viens ? fit-elle en m’entrainant par le bras.
    — ...
    ... Dépêchez-vous les filles firent les hommes, de concert.
    Nous primes la direction des toilettes et au dernier moment Mélanie poussa la porte de la rue. Nous partîmes en courant et en riant. 
    Nous primes la direction du port et en y arrivant nous nous réjouissions encore, telles deux véritables garces, du mauvais tour que nous venions de jouer à ces deux hommes.
    — Gare à nous si nous les recroisons ! s’exclama Mélanie.
    Nos déambulations sur le port nous conduisirent jusqu’à un pub où nous pensions dénicher deux beaux spécimens. Hélas il n’y avait que des couples. Nous nous installâmes au fond de l’établissement à côté de deux d’entre eux, lesquels devisaient joyeusement de manière grivoise. 
    Nous ne voulions pas accumuler les mélanges alors nous commandâmes deux « planteur ». 
    Nous réfléchissions à la suite de la soirée lorsque je fis remarquer à Mélanie que les deux femmes nous reluquaient ardemment.
    — Des gouines, tu crois ? me demanda-t-elle.
    — Elles sont avec des mecs.
    — Et alors, elles sont peut-être à voile et à vapeur.
    Nous éclatâmes de rire.
    — La soirée semble bien joyeuse fit l’un des hommes en nous regardant. Voudriez-vous vous joindre à nous ?
    — Volontiers, lança Mélanie sans me consulter.
    L’homme se leva et rapprocha notre table.
    — Je m’appelle Marc, et voici Suzie ma femme.
    — Moi c’est Laura et lui c’est mon mari Igor il est d’origine russe.
    Nous nous présentâmes à notre tour et reçûmes quelques compliments de la part de ces messieurs. 
    Marc était dans ...
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