1. Douceurs polynésiennes


    Datte: 27/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Vos histoires

    ... et eux ils aiment bien nous regarder, Laura et moi.
     Lorsque j’échangeai un rapide coup d’oeil avec Mélanie je vis qu’elle était debout et qu’Igor, ayant glissé la main sous sa robe, lui caressait les fesses.
    Laura revint avec un chargement de bières et de rhum.
    — Vous vous mettez pas à l’aise les garçons ? lança-t-elle.
    Marc et Igor se regardèrent puis ils disparurent dans la maison pour en ressortir peu de temps après entièrement nus. J’eus un frisson en les voyant. Marc avait une musculature magnifiquement développée mais il arborait une verge plus petite que celle d’Igor, plus filiforme. 
    Néanmoins il n’y avait pas de quoi fouetter un chat ! 
    Les voyant apparaître ainsi, Laura et Suzie, entreprirent de retirer leurs robes. C’était tout ce qu’elles portaient. 
    Suzie nous servit généreusement et personne ne fit de remarque quant aux vêtements que nous gardions. Néanmoins je mesurais rapidement le ridicule de la situation et je retirai ma robe, aussitôt imitée par Mélanie.
    — Vous êtes magnifiques les filles, lança Laura et je craignis un instant qu’elle ne cherche ouvertement à nous draguer. 
    Elle apaisa mes craintes en déclarant :
    — Ce soir on vous prête nos hommes.
    — Et il sont interchangeables, précisa Suzie.
    Interchangeables ? Il me fallut quelques secondes pour comprendre et je me dis que tout compte fait la soirée serait peut être très agréable.
    — Mais attention, tout ce passe ici, sur la terrasse, conclut Laura. 
    Bon, là, ça coinçait quand même un peu ...
    ... pour moi. Il n’y aurait eu que les hommes, pas de problème, mais m’exhiber devant leurs femmes ça heurtait quelque peu ma morale, probablement parce que j’étais encore trop lucide. Il me fallut donc encore deux rhums pour m’arranger avec elle. Tant mieux, parce que voir les garçons triquer de la sorte était un appel au viol ! 
    Lorsque je jetais un regard vers leurs femmes, je vis Suzie téter goulument son amie. Je crois que cela m’excita, d’autant que Mélanie s’était déjà emparée de la grosse queue d’Igor à laquelle j’aurai sans doute droit plus tard si les garçons étaient vraiment interchangeables.
    Je passai délicatement mes doigts manucurés sur les bourses de Marc puis je décalottai sa verge. Son gland luisait d’excitation. Je le masturbai un moment, puis imitant Mélanie je commençai à le pomper. C’était bon. L’oeil aux aguets je décelai l’approche de Suzie et Lucie qui nous observèrent attentivement. Cela ne me dérangea pas et je m’appliquai à déployer tout mon art. Les hommes ne boudèrent pas leur plaisir qu’ils manifestèrent par de multiples gémissements gutturaux. Marc semblait adorer lorsque je pompai vite en serrant fort les lèvres et je ne l’en privai pas. Etait-ce de savoir que leurs femmes nous observaient où de voir le déchainement de Mélanie sur la grosse bite d’Igor ? Je ne pourrais le dire mais je me sentis soudain terriblement excitée et je n’eus plus l’envie comme je l’avais envisagé de me retirer lorsque Marc éjaculerait. Je le laissai donc décharger dans ma ...
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