1. La rencontre


    Datte: 08/02/2018, Catégories: f, jeunes, complexe, fête, humilié(e), cérébral, ffontaine, Masturbation nopéné, portrait, humour, occasion,

    ... vibrant offert par une copine à moi qui avait vainement essayé de me décoincer. Ces sessions de masturbation me laissaient très souvent insatisfaite, même alors que j’essayais de les agrémenter de pensées excitantes. Je me faisais des scénarios avec de beaux messieurs – parfois avec de belles dames – mais je finis bien vite par trouver que ça manquait de piment. Au fur et à mesure, mes rêveries érotiques avaient doucement glissé vers des scénarios plus crus, plus durs, voire carrément plus sales. Mes études de psycho m’avaient bien fait comprendre que l’interdit était excitant, et je m’employais à démontrer ce fait. Je me rêvais en soumise, aux mains de multiples pervers qui profitaient de moi sans me laisser le moindre répit ; aux pieds de ma maîtresse, nue et en laisse, obligée de marcher à quatre pattes comme une chienne le long de ruelles mal éclairées ; offerte dans une cave sordide, attachée à un mur alors qu’une demi-douzaine de lascars me regardaient avec envie avant que la curée ne commence. Je terminais mes affaires, en nage, le rouge aux joues, mortifiée par ces envies vicieuses. J’en avais tellement honte qu’à chaque fois je me promettais de ne pas recommencer. Mon problème, c’était que les histoires de prince charmant me laissaient de glace. Petit à petit, je ne parvenais plus à m’exciter sans un bon scénario bien ficelé où je me faisais salope et où je me livrais à des actes bestiaux. Mes pensées salaces avaient commencé à déborder sur ma vie courante, et quand ...
    ... je croisais des hommes ou des femmes que je trouvais beaux ou particuliers, j’avais souvent des images crues qui passaient à toute vitesse dans ma tête, et je sentais même parfois que l’excitation me gagnait sans que je puisse faire quoi que ce soit. Il y a eu des moments où je suis restée bête, debout en pleine rue, sentant ma mouille couler le long de mes jambes après avoir vu un mec un peu trop mignon. Fred m’avait fait cet effet-là. Avant même qu’il ne m’adresse la parole, je l’avais déjà imaginé s’approchant, m’attrapant doucement mais fermement par la nuque et me traînant vers la salle de bain. Là, il m’aurait penchée au-dessus du lavabo, et sans même une parole m’aurait pénétrée d’un seul coup. Pas besoin de préliminaires : j’étais déjà trempée, de toute façon. C’était peut-être à cause de ce fantasme que je lui avais répondu sèchement. Mon cerveau était tellement encombré par cette image de lui en train de me baiser sauvagement que je n’avais rien trouvé d’autre à répondre. Je m’étais assise à l’écart parce que je ne voulais pas qu’on voie que l’arrière de ma jupe était taché. Je me disais que les gens allaient penser que je m’étais pissé dessus, et vu le peu d’amis que j’avais, je ne voulais pas risquer une humiliation en public. J’étais donc à l’écart, buvant doucement un verre de je-ne-sais-quoi lorsque Fred était revenu me voir. J’ai tout de suite eu une image de lui s’arrêtant devant moi et sortant son sexe pour le présenter devant mon visage. J’aurais ouvert la ...