La rencontre
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
f,
jeunes,
complexe,
fête,
humilié(e),
cérébral,
ffontaine,
Masturbation
nopéné,
portrait,
humour,
occasion,
... moindre effleurement sur ma peau m’aurait fait jouir instantanément. Mes mains s’étaient glissées un peu plus loin sous mes cuisses, et je sentais le bout de mes doigts sur le point de toucher mon entrejambe. Je les remuai un peu, et rien que ce mouvement m’électrisa. J’étais en train de pousser sur mes mains pour les rapprocher encore de mon sexe quand je vis Fred revenir vers moi. Je me rendis compte que je m’étais mis à transpirer à grosse gouttes. Il se rassit à ma droite avec encore un petit sourire. Fred en train de me baiser. Comme une salope. Violemment. — C’est bon, tu peux dormir là.— Merci. C’est vrai que je me sens pas super bien. J’ai pas l’habitude de boire, en fait.— Ben écoute, repose-toi, et quand les gens partiront, on verra pour te trouver un drap ou une couverture peut-être.— Il ne fait pas assez froid pour dormir avec une couverture, répliquai-je, bougeant légèrement mes cuisses pour laisser plus de place à mes doigts.— Ah ? On aurait pourtant dit que tu avais froid… fit-il d’un ton détaché alors que son regard glissait sur mes seins. Je le suivis, et vis que mes tétons pointaient outrageusement à travers ma robe. Bien sûr, j’avais mis une robe sans soutien-gorge. On aurait dit qu’ils allaient percer le tissu. À ce moment précis, ma jambe s’écarta juste assez pour que mes doigts touchent ma chatte, et leur contact, la situation, ma perversité, Fred frottant sa bite gluante de ma salive sur mon visage, le tout combiné me fit décoller. Je me suis ...
... brusquement contractée, j’ai mordu mes lèvres, et dans un gémissement à moitié étouffé j’ai joui comme une furie. J’ai senti un jet s’échapper de moi durant la jouissance, s’étalant entre mes jambes et sur le canapé, trempant un peu plus celui-ci. Je me mis à trembler, et pendant un temps qui me parut incroyablement long, j’ai senti la jouissance m’emporter, sans s’arrêter, par vagues lancinantes. Quand l’orgasme finit par s’arrêter, j’ai pu voir Fred – mon baiseur infatigable – me regardant avec des yeux comme des soucoupes, les joues rouges, probablement en train de saisir ce qui venait de se passer. Il avait forcément compris. Ou pas. Comme je l’ai dit, il ne brillait pas non plus par son intelligence. Mais là… là, il devait avoir compris. Il s’en était forcément rendu compte. J’étais mortifiée. J’ai senti les larmes me monter aux yeux, et je me suis brusquement mis à regarder mes chaussures, sans savoir quoi dire. Soudain j’ai senti sa main sur mon épaule. À ma grande horreur, son contact m’excita immédiatement. Une partie de moi me fustigea, me traitant de tous les noms, mais une partie disait tout autre chose. Fred allait enfin me mettre son gros chibre, putain ! — Tu as envie de vomir, Amalie ? Ce fut à mon tour d’ouvrir de grands yeux. Mon honneur était sauf : cet idiot de Fred pensait que j’avais la nausée. Et il allait me baiser, oui. J’ai hoché la tête, toujours larmoyante, et Fred se releva en disant qu’il allait chercher un seau.« Baise-moi Fred ! » J’étais repartie de ...