1. La rencontre


    Datte: 08/02/2018, Catégories: f, jeunes, complexe, fête, humilié(e), cérébral, ffontaine, Masturbation nopéné, portrait, humour, occasion,

    ... bouche et tiré la langue, attendant impatiemment qu’il me l’enfourne au fond de la gorge. Cette pensée acheva de me liquéfier, et j’ai bien cru que ma tête entière avait rougi sous le coup de l’émotion. Il s’était arrêté à un mètre de moi et m’avait fait un petit clin d’œil. — Tu peux ouvrir en grand, s’il te plaît ? avait-il demandé avec un sourire. Mon premier réflexe avait été de commencer à ouvrir la bouche. Je me suis même sentie saliver. La part consciente de moi avait réussi à rattraper le coup en me forçant à refermer la bouche, mais j’avais été incapable de répondre quoi que ce soit. — La fenêtre, insista-t-il. Tu peux l’ouvrir ?— Pourquoi ? avais-je demandé bêtement.— C’est que t’es toute rouge. T’as pas chaud ?— Non. C’est l’alcool. Il avait rigolé et avait ouvert la fenêtre lui-même avant de s’asseoir à côté de moi. — Excuse-moi ; pour tout à l’heure, je veux dire : Amalie, c’est un joli prénom. Fred en train de me défoncer le cul. — Euh… OK, avais-je bégayé. Ben, Fred, c’est pas mal non plus.— C’est commun, je sais ; mais comme on dit, on choisit pas.— Oui c’est vrai. Fred en train de me tordre les tétons. — Qu’est-ce que tu fais ?— Hein ? Je ne devais pas avoir l’air très malin non plus. — Dans la vie, je veux dire. Tu fais quoi dans la vie ?— Je suis à la fac, répondis-je en mettant mes mains sous mes cuisses, espérant cacher la tache qui s’élargissait sous moi.— Ah, t’es une tronche, alors, reprit-il en souriant. Il avait un sourire charmant. Fred me prenant ...
    ... en levrette, tirant mes cheveux en me mettant des claques sur les fesses. — Pas vraiment, non. Et toi ?— Je bosse dans la sécurité. Je fais du gardiennage ; je surveille des boîtes, ce genre.— C’est bien ?— Affreux. Je peux jamais prévoir ce que je vais faire, c’est chiant. Mais c’est bien payé, parce que je fais souvent les nuits.— Je touche que ma bourse. C’est pas facile non plus, crois-moi. Avec les horaires des cours, je peux même pas prendre un petit boulot.— Ben, tu fais comment, alors ?— Mes parents m’aident un peu.— Ah ouais, c’est la galère, ça. Fred me giclant sur le visage et les seins, me forçant à tout récupérer pour l’avaler. À force de fantasmer, j’étais aussi trempée que si je m’étais vraiment pissé dessus. — Ça va ? demanda Fred. T’as pas l’air bien ; tu respires fort.— Je crois que j’ai trop bu, mentis-je en essayant de remettre mon cerveau en marche. Je peux plus me lever.— Ben, t’as qu’à rester là. Dormir sur le canapé, je veux dire. Bouge pas je vais demander à mon pote, c’est lui qui tiens la turne. Il s’était alors levé et avait traversé les groupes de gens en train de danser, boire ou discuter, pour disparaître en quelques secondes. Fred me baisant dans toutes les positions, Fred me cravachant les seins, mes gémissements étouffés par un bâillon. Fred me faisant lui sucer la bite au fond d’un bus, et moi avalant tout pour qu’il n’ait pas de taches sur son pantalon. Je n’en pouvais plus. J’étais tellement excitée que je sentais que le moindre contact, le ...