Les fantômes d'un passé lointin (2)
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pierre attachée à son pied droit. Elle devait la porter pour se rendre au supplice suivant. Les moines n’hésitaient pas à la fouetter si elle n’allait pas assez vite. Pour cette femme, si la douleur fut violente et pratiquement insupportable les deux premiers jours, elle disait maintenant ressentir du plaisir à subir les supplices plus raffinés de ses tourmenteurs, surtout ceux du père supérieur. Elle décrivait avec tant de détail ses orgasmes qu’à la fin de ce chapitre, Martine jouissait longuement. Entre les cuisses de Martine, je passais mon index, sa cyprine coulait abondement le long de ses cuisses. Je testais si ce que j’avais lu pouvait se reporter sur ma Martine. Cependant, j’hésitais à lui faire mal. Mais quelque chose me poussait à le faire. Je me suis emparé d’un sein et le pinçais avec force tout en l’étirant au maximum. Je fixais le visage de Martine. Elle avait la bouche grande ouverte quand j’entendis sa voix venue du fond de son corps. — Merci Maître Paul, la douleur est bonne pour votre servante. Je vous en supplie de continuer. Je n’en revenais pas que Martine puisse me dire cela, le clamer même. La bougie en main, sur ce même sein, j’en coulais quelques gouttes. Martine gémissait comme si elle allait jouir. Je continuais sur l’autre, là encore, elle gémit encore plus fort. Plus je la supplicie, plus elle s’approche d’un orgasme que je sens déjà violent. Et c’est exactement le cas, Martine hurle de plaisir sous mes yeux hagard et mon visage hébété. En ...
... continuant la lecture, la femme fait un récit encore plus détaillé sur une séance au martinet. Devant Martine, je le lis, mettant le ton. — Le moine était nu, son sexe fièrement dressé. Il m’avait troussée avant de me pendre, les bras au-dessus de ma tête. Dans mon con, cette poire en bois allait et venait. Il me fit avoir du plaisir avant de me montrer ce martinet. Il commença par largement écarter mes pieds, le plus loin possible de mon corps qui s’étirait douloureusement. Cette douleur était déjà divine en soi. Puis, sur mes pieds, il ajouta de lourdes pierres. Mon corps allait se scindé en deux s’il continuait. D’une corde, il emprisonnait un sein, d’une autre, l’autre. Il écartelait ma poitrine, m’offrant un nouvel orgasme encore plus violent que le précédent. Mes seins me semblaient vouloir s’arracher de mon corps. Sur mes mamelles, il posa encore des poids bien lourds. Les pinces tiraient mes tétons vers le bas, un supplice encore plus douloureux que tout le reste. Il recula, admira son œuvre. Passant près de moi, il remuait cette poire divine figée en moi. Il prit son martinet et commença à fouetter mon dos. il ne se privait de malaxer ma chair entre le coup. Chaque coup était divinement apprécié par mon corps et mon âme de pécheresse. Ce supplice dura de l’aube au coucher du soleil. Après quoi, je dus encore contenter tous ces hommes, nos tourmenteurs. Je perdis connaissance pendant un orgasme. je me réveillais pendant la nuit, j’étais solidement enchainée à une autre ...