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Le jardin de Monsieur François
Datte: 10/02/2018, Catégories: fh, grp, hagé, poilu(e)s, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, initiatiq, Partouze / Groupe nature,
... lequel il s’était lié d’amitié. Que de jours heureux il avait passés au contact des jolies filles à la peau brun sombre avec leurs cheveux bleu-noir et leurs sourires enchanteurs dont les bouches étaient si savantes et expérimentées ! Rapporter des jeunes plants de cet arbuste n’avait pas été facile, plusieurs étaient morts pendant le voyage, mais ceux qui avaient survécu et qu’il avait plantés prospéraient depuis lors dans son jardin secret et en étaient devenus l’âme. L’effet des fleurs sur les esprits et leur pouvoir de suggestion sur les sens ne s’étaient jamais démentis et Monsieur François en restait éternellement reconnaissant à l’homme qui lui en avait révélé le secret. Bérangère continuait de lécher et de sucer, sa tête s’avançant et reculant pour faire glisser ses lèvres d’avant en arrière sur la bite du vieil homme, un mouvement répétitif et familier qu’elle avait employé avec un orifice différent quelques minutes avant. Un mouvement répétitif qui produisit bientôt le résultat escompté : dans un râle, Monsieur François tendit sa queue en avant et, par jets successifs, remplit de sperme chaud la bouche de sa jardinière. Il sembla à Bérangère que le sperme de son patron avait le même goût que celui qui avait envahi sa bouche dans son rêve quand elle dormait sur le banc du jardin. Mais ce n’était sans doute qu’une illusion… Un peu plus tard, quand le vieil homme fut parti et qu’elle eut rassemblé ses outils, Bérangère revint dans la première partie du jardin, surprise ...
... et étonnée par ce qu’elle venait de faire pour Monsieur François. Bien sûr, il lui était déjà arrivé de faire la même chose à quelques garçons mais elle n’avait pas de petit ami attitré en ce moment. Il y avait quelque chose dans ce jardin qui la transformait chaque fois qu’elle y pénétrait, quelque chose qui cette fois l’avait poussée à faire l’amour à la statue et à sucer Monsieur François. Un peu après midi, Bérangère retourna vers la maison. Carlos était assis à l’ombre fraîche des longues branches d’un arbre qui s’étendaient presque jusqu’au sol. Le soleil dans les yeux, Bérangère ne le voyait pas. Il regarda le corps aux courbes pleines, les seins qui rebondissaient doucement quand elle marchait, et il sentit son membre s’étirer entre ses cuisses puis se gonfler jusqu’à se tendre devant lui, le gland se décalottant sous la pression du sang qui l’avait envahi. Monsieur François avait informé son jardinier que le temps était venu pour lui d’initier définitivement la jeune fille. Il se leva et la suivit sur le chemin. Bérangère s’était arrêtée pour regarder de près le buisson aux fleurs orange et elle pensa qu’il faudrait vraiment qu’elle essaye de faire quelques boutures. Elle se sentait tellement bien en respirant le parfum des fleurs qu’elle n’entendit pas Carlos venir juste derrière elle. Deux grandes mains se saisirent de ses seins et elle sentit un membre imposant venir caresser la fente de ses fesses quand il l’étreignit. Elle se raidit, mais reconnut immédiatement ...