Le jardin de Monsieur François
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
poilu(e)s,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Partouze / Groupe
nature,
... s’arrêter complètement. C’est à ce moment, en ouvrant les yeux, qu’elle vit son patron, debout devant la statue, sa queue dressée devant lui, qui lui souriait gentiment. Elle bondit par terre, comme si le pénis de la statue était devenu soudain brûlant. Le membre de bronze, mouillé des sécrétions intimes de la jeune fille, brillait plus que d’habitude dans la lumière du soleil, comme pour mettre en évidence l’intensité du plaisir de la jardinière. Monsieur François avança la main et caressa l’humidité de Bérangère sur le pénis. — Je… commença la jeune femme.— Rappelez-vous, Bérangère, je vous ai dit hier que le sexe dans ce jardin ne doit pas vous inquiéter, c’est aussi naturel que d’être nu. C’est naturel de se laisser aller. D’ailleurs, comment pourrait-on faire autrement quand on regarde tout ça ? dit-il en désignant de la main la statuaire du jardin. Mais dites-moi, avez-vous bien profité des avantages de cette statue ? Vous sentez-vous bien ? Regardez, j’ai amené ça pour vous. Il lui tendit un éclatant bouquet de fleurs orange. Le parfum flottait autour Bérangère, elle se sentait un peu étourdie, peut-être parce qu’elle avait fait l’amour à la statue. Elle ne se sentait plus coupable d’avoir été surprise par Monsieur François se faisant plaisir sur la statue au lieu de travailler. D’ailleurs, en regardant son employeur, elle pouvait voir que son initiative avait eu un effet très positif sur son membre qui se dressait fièrement devant lui. Manifestement, il n’était pas ...
... trop vieux pour ça parce que sa bite était assez raide et pointée en avant. Mais ça ne l’embarrassait pas. Après tout, c’était normal qu’un homme, même âgé, réagisse devant un tel spectacle. Elle prit les fleurs. — Je suis désolée, j’ai été…— Non, ma chérie, ne soyez pas désolée. Je suis très heureux que vous profitiez de mon jardin pour prendre votre plaisir. Bérangère regarda de nouveau le pénis dressé de Monsieur François, et le parfum des fleurs se répandit une fois de plus autour d’elle. — Est-ce que je peux ? Avant qu’il ait pu répondre, elle saisit la bite, l’encercla avec ses doigts et commença à la stimuler, pour l’amener à se développer encore plus. Elle se sentit soudain altérée, la soif l’envahit, et l’idée de déguster le sperme de Monsieur François devint très attrayante. Elle se jeta à genoux devant lui. — Est-ce que je peux ? demanda-t-elle de nouveau. Et encore une fois sans attendre la réponse, ses lèvres s’ouvrirent et elle goba la tête lisse. Monsieur François la regarda et sourit. Il aimait tellement voir les bouches des jeunes filles autour de sa queue ! C’était délicieux de sentir les mouvements de la langue de Bérangère sur sa peau sensible. Il lui caressa les cheveux comme il l’avait fait l’autre jour dans le jardin, en pensant à l’époque si lointaine où, alors qu’il séjournait dans une vallée perdue du nord de l’Inde, il avait découvert les vertus aphrodisiaques de l’odeur des fleurs orange. Le secret lui en avait été révélé par un vieux sage avec ...