Le jardin de Monsieur François
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
poilu(e)s,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Partouze / Groupe
nature,
... vous devriez être ici, mais je me demandais si vous pourriez réorganiser votre emploi du temps. Bérangère lui assura que ce n’était pas un problème. — Bien sûr, dans un premier temps, vous devrez rester habillée. Je ne veux pas qu’il soit effrayé. Mais je sais que vous saurez faire en sorte qu’il ne reste pas timide longtemps. À l’heure du café, Bérangère vint vers la maison. Comme souvent, Monsieur François avait réuni quelques amis. Quatre vieux messieurs nus étaient assis autour d’une table et le café était servi par Patricia et Rachel, les deux jolies filles toujours aussi nues. La table était en fer forgé peint en blanc et dessus était posé un vase de fleurs d’un orange particulièrement vif. Monsieur François appela la jeune fille et l’invita à s’asseoir avec eux. — Par cette chaleur, je pense que vous devez avoir soif ? Le parfum des fleurs était entêtant. Bérangère hocha la tête. Autour de la table, les vieux mâles se mirent à remuer, et leurs sangs chauds commencèrent à envahir massivement leurs queues qui s’élevèrent progressivement vers le ciel. Patricia et Rachel se regardèrent : — Avez-vous besoin de notre aide, Monsieur François ?— Non mes chéries, je pense que Bérangère ...
... peut suffire pour l’instant. Bérangère hocha la tête. Comme Monsieur François le lui avait dit, elle avait soif et les bites érigées étaient très attirantes, très suçables. Elle passa légèrement sa langue sur ses lèvres en les regardant. Cette image de l’érotisme fit frémir les membres de ces messieurs. Elle se mit à genoux devant Monsieur François. — Non, non, Bérangère. D’abord mes invités, s’il vous plaît ! La jeune fille se coula près de la chaise suivante, saisit la première bite dans sa main et se mit au travail. Le mercredi venu, Bérangère regarda avec plaisir le nouveau jeune homme. Assurément, il ne faudrait pas longtemps pour lui faire comprendre qu’être nu dans le jardin était très agréable, y avoir des activités sexuelles était encore mieux, et s’occuper du jardin de Monsieur François et peut-être de Monsieur François lui-même, le summum du plaisir. Elle regarda son pantalon de travail et se demanda à quoi ressemblait le pénis qui se devinait dessous. Le destin de Bérengère était maintenant tout tracé : elle était jardinière, sa vocation était donc de prendre les choses en main, de les faire croître et enfin, en bonne professionnelle, de savourer le résultat de ses efforts.