1. Le jardin de Monsieur François


    Datte: 10/02/2018, Catégories: fh, grp, hagé, poilu(e)s, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, initiatiq, Partouze / Groupe nature,

    ... elle se disait que si que si quelque chose la choquait, elle pourrait toujours y renoncer. Elle sonna à la porte verte. Contrairement à ce qu’elle avait craint, Monsieur François portait son costume de toile comme la fois précédente. Bérangère sortit dans le jardin et après avoir rassemblé les outils dont elle avait besoin, se mit au travail. Comme il était encore de bonne heure, elle commença par un arrosage des parties qui en avaient le plus besoin. Puis, le soleil se faisant plus chaud, elle entreprit d’ôter les quelques herbes qui avaient poussé là où il ne fallait pas. Plus tard dans la matinée, la chaleur se faisant encore plus intense, elle ressentit le besoin de boire. Monsieur François lui avait dit qu’elle pouvait utiliser la cuisine à tout moment et elle partit se servir un verre d’eau. Elle marcha sur le chemin de gravier en admirant les plantes et en appréciant les senteurs enivrantes. Elle ne découvrit Monsieur François qu’au dernier moment. Il était assis sur le banc où il l’avait fait asseoir trois jours plus tôt mais cette fois, en dehors de son chapeau de soleil et de ses sandales, il était complètement nu. Bérangère rougit. Il était assis là, tranquillement, ne portant rien du tout. Elle aperçut même son pénis allongé sur sa cuisse, avant qu’elle détourne les yeux. Le vieil homme la regarda se précipiter vers la cuisine et sourit. Bérangère continua à le voir toute la matinée pendant ses déplacements dans le jardin. Elle essaya de rester loin de lui, mais ...
    ... ce n’était pas toujours possible. Elle venait de terminer son repas et était assise sur le banc de bois quand il vint vers elle. — Vous profitez de l’odeur ? Il cassa une petite branche portant quelques fleurs et la lui tendit. Il était difficile de ne pas le regarder alors qu’il se tenait debout près d’elle et lui parlait. Elle leva les yeux et, inévitablement, vit son pénis flasque et ses testicules qui pendaient bas, Elle rougit en prenant la branche pour mettre les fleurs sous ses narines, et encore une fois le vertige la saisit. — Êtes-vous maintenant à l’aise avec le fait que je sois nu ? C’est juste une coutume qui se pratique dans mon jardin privé.— C’est un peu inhabituel au début, bien sûr… Mais, après avoir respiré l’odeur capiteuse de la fleur, il semblait à Bérangère qu’après tout, ce n’était pas un problème et la nudité de son employeur ne l’inquiétait plus. Ce n’était pas comme si elle-même allait faire le tour du jardin complètement nue. Non, elle s’en tiendrait à son tee-shirt et son jean. Puis elle s’imagina quand même circulant seulement avec une paire de bottes et rien d’autre. Elle eut un petit rire. — Eh bien, je vais me remettre au travail. Deux jours plus tard, elle travaillait à nouveau dans le jardin. Monsieur François lui avait donné la clef du portail du mur qui s’ouvrait directement sur le jardin afin qu’elle n’ait pas à le déranger quand elle arrivait. Cela signifiait aussi qu’elle pouvait commencer tôt, avant que la chaleur intense ne s’installe. ...
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