1. Le jardin de Monsieur François


    Datte: 10/02/2018, Catégories: fh, grp, hagé, poilu(e)s, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, initiatiq, Partouze / Groupe nature,

    ... Résignée et polie, elle se présenta : — Bonjour ! Je suis Bérangère, la nouvelle jardinière.— Je m’appelle Carlos, cria-t-il par-dessus le bruit de la tondeuse qu’il remit en route pour remonter la pelouse dans l’autre sens, révélant ainsi son dos abondamment couvert de poils noirs. Même ses fesses musclées étaient couvertes de poils noirs et frisés. Le parfum de la fleur orange vint vers elle inopinément.« Avec tous ces poils, il est presque décent sans vêtements, même si sa queue se remarque trop » pensa Bérangère. Elle fut surprise de sa réflexion, comme si elle avait finalement accepté totalement le concept naturiste. Elle retourna vers la maison pour aller chercher un verre d’eau. Monsieur François était de nouveau installé sur le banc avec sa limonade et il lui en offrit. Elle s’assit à côté de lui. Le parfum du buisson aux fleurs orange était très fort, là où ils se tenaient. Après un certain temps, il lui demanda : — Avez-vous rencontré Carlos, l’homme qui tond les pelouses ?— Oui, et j’ai été un peu surprise par… Monsieur François sourit : — Eh bien, je vous avais prévenue, il fait très chaud, et c’est ce que nous faisons tous ici. J’espère que ça ne vous dérange pas ? Le parfum était fort. Bérangère prit une autre gorgée de sa limonade. Non, elle n’était pas offensée ni contrariée. C’était naturel, après tout. Malgré une averse soudaine et un week-end généralement humide, il faisait encore chaud dans le jardin quand Bérangère entra par le portail la semaine ...
    ... suivante. Cette fois, elle avait mis une jupe en jean et se sentait beaucoup plus fraîche alors qu’elle creusait dans les parterres, ses chaussures de travail brunes poussant la bêche. Vers midi, alors qu’elle se dirigeait vers la serre et que la forte chaleur avait repris, elle passa près du buisson fleuri en orange. Le parfum semblait encore plus fort après la pluie de la nuit et Bérangère vacilla tellement il était présent dans l’atmosphère. Elle pensa qu’il faudrait qu’elle en fasse quelques boutures à l’automne. Il faisait chaud dans la serre, même avec toutes les aérations ouvertes. Elle ôta son soutien-gorge à nouveau, mais elle avait encore très chaud. Elle organisa un courant d’air, et un souffle un peu plus frais lui parvint apportant le parfum entêtant des fleurs orange. Elle fit une pause pour regarder autour d’elle. Personne nulle part. Elle passa son tee-shirt par-dessus sa tête et continua son travail. Ses mains sales et couvertes de compost contrastaient avec la blancheur de ses seins désormais exposés qui bougeaient délicatement d’un côté à l’autre au rythme de ses mouvements. La sensation de chaleur sur ses mamelons les fit durcir et les petits bourgeons s’épanouirent au milieu de leurs cercles bruns. Le vieil homme, qui passait par là, la vit et fut ravi de ce qu’il voyait. Alors qu’il sentait un frémissement familier envahir son bas-ventre, il s’éclipsa discrètement en pensant que, décidément, son jardin faisait beaucoup d’effet à ceux qui y séjournaient. ...
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