De Papillon De Nuit à soumise (10)
Datte: 11/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Le trajet du retour me parut durer une éternité. J’appuyais ma tête contre la vitre de la voiture, les yeux clos. J’avais l’impression d’avoir tous mes orifices en feu. Mon cul me brûlait un peu après avoir subi les assauts du patron du restaurant dans lequel nous étions allées manger, ma Maîtresse et moi ; et de l’autre côté, ma chatte, qui était endolorie à cause du concombre reçu plus tôt dans la journée, était brûlante et trempée de désir. Je ne savais pas encore si je voulais une queue pour la satisfaire ou de simples caresses ; mais une chose était certaine : j’en voulais encore. Cette sensation était presque effrayante, car plus je recevais du sexe, plus j’en redemandais. Et tout ça avait commencé après le gang-bang organisé pour fêter mon 18ème anniversaire ; j’avais eu beau enchaîner les orgasmes, mon corps en voulait toujours davantage. Avais-je été totalement brisée d’avoir été ainsi offerte sans arrêt à des inconnus au point de ne plus me sentir assez satisfaite, ou devenais-je simplement une vulgaireputain nymphomane ? Que me réservait l’avenir ? Combien de temps allais-je pouvoir tenir à ce rythme ? Beaucoup de questions sans réponses, sur le moment, se bousculaient dans ma tête. — Tu dors ? Mes pensées furent brusquement interrompues par la question de ma Maîtresse. J’ouvris alors les yeux et me redressai sur le siège. — Non, Maîtresse Chloé. — À quoi pensais tu ? me demanda-t-elle. — À ce que je viens de vivre, Maîtresse Chloé. Mes expériences dans le ...
... restaurant, pour être un peu plus précise. — Justement, puisque tu abordes ce sujet, parlons donc de ce qui t’est arrivé dans lestoilettes. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? — Oh, eh bien, je ne sais pas trop quoi dire, Maîtresse Chloé ; j’avais à peine pris sa queue dans la main qu’il avait déjà joui. — Tu penses qu’il était puceau ? — J’en suis intimement convaincue, Maîtresse Chloé. — Je suis persuadée que tu t’es empressée de tout avaler et de le nettoyer comme il faut, j’imagine ! — Tout à fait Maîtresse Chloé, très consciencieusement ! mentis-je. — Tu es une bonne chienne ! Et pour le petit entretien avec Jean-François ? demanda-t-elle en lâchant le volant un bref instant pour effectuer des guillemets avec ses doigts. — J’ai été sodomisée assez brutalement, et la jeune fille qui m’a raccompagnée à notre table nous avait surpris. — Ah, mais ça devient intéressant... Et que s’est-il passé ? — Eh bien, elle a reçu l’ordre de son patron de rester à nous mater, ce qu’elle a fait sans sourciller. Et je dois dire, Maîtresse Chloé, qu’à ce moment-là j’étais gênée, mais aussi excitée à l’idée de me faire mater. — Elle n’a pas participé ? — Non. Elle a simplement suivi les ordres. — Que penses-tu qu’elle a ressenti ? — Elle a dit qu’elle était très excitée, Maîtresse Chloé, à vrai dire. Je peux facilement la croire. — En tout cas, je suis fière de toi, encore une fois ! me dit elle en posant une main sur ma cuisse. — Merci beaucoup, Maîtresse Chloé. Au moment où elle avait posé sa ...