1. De Papillon De Nuit à soumise (10)


    Datte: 11/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... main sur ma cuisse, je ressentis des papillonnements à l’intérieur du ventre ; un frisson agréable me parcourut l’échine, ma caverne intime s’humidifiait de plus belle, et elle me picotait. — Et est-ce que tu as joui ? Je me raclai la gorge afin de tenter de faire passer mon trouble. — Non, Maîtresse Chloé, mais j’ai pris beaucoup de plaisir, je le reconnais. — Quelque chose ne va pas, ma soumise ? m’interrogea-t-elle en effleurant l’intérieur de ma cuisse gauche. Une intense chaleur m’envahit. Cette femme avait une sorte de pouvoir sur moi, et ça s’est révélé le soir de ma "capture". Pourtant, ça aurait été n’importe qui d’autre, j’aurais... enfin, "Papillon de nuit" aurait tout essayé pour se défendre, et ne se serait jamais effondrée aussi rapidement. Mais avec elle, tout s’est passé différemment : un de ses regards pouvait être suffisant pour manquer de me mettre dans un bel état, et les sentiments que je commençais à éprouver pour elle n’arrangeaient rien du tout. Depuis que je la connaissais, j’avais vécu plus d’expériences sexuelles que de raison. J’avais goûté à tous les sexes, participé à une orgie, je m’étais fait prendre par tous les orifices, je me faisais traiter comme une chienne, je me faisais souiller, fouetter au martinet, humilier, fesser, exhiber ; mais surtout, j’aimais ça. Je déglutis le plus discrètement possible, mais j’avais l’impression que cela s’était entendu à cent mètres à la ronde. Et sans que je ne m’en rende compte, mes cuisses commencèrent à ...
    ... s’écarter de leur propre chef, comme si elles étaient totalement indépendantes du reste de mon corps. — Tout va bien, Maîtresse Chloé, dis-je en tentant de garder le contrôle de mon corps. — Fais attention, ma chienne, parce que si jamais tu me mens, je risque de me mettre vraiment très en colère... m’avertit-elle sur un ton des plus calmes et naturels. Alors, je réitère ma question : tu es sûre que tout va bien ? insista-t-elle sans quitter la route des yeux. — Eh bien, au moment où vous avez posé vos doigts sur ma cuisse, dis-je d’une voix troublée par le désir sexuel, j’ai commencé à mouiller. — Ah bon ? Vérifions ça tout de suite ! dit-elle en touchant ma grotte d’amour d’où ruisselait une douce liqueur chaude et odorante. Le contact du bout de ses doigts eut l’effet d’un choc électrique qui a comme ordonné à mes cuisses de s’ouvrir davantage. La sensation fut voluptueuse ; brève, parce qu’elle retira presque instantanément ses doigts, mais voluptueuse. — Eh bien, en effet, t’avais pas menti, dit-elle en regardant ses doigts couverts de jus. Nettoie-moi ça immédiatement, je veux pas avoir d’accident ! m’ordonna-t-elle en me tendant sesdeux doigts souillés de mon propre miel. — Oui, Maîtresse Chloé. Je ne me fis pas prier pour lui sucer les doigts avec passion, comme une véritable assoiffée, espérant ainsi lui faire comprendre à quel point mon appétit sexuel avait été ravivé par le simple contact de ses doigts. J’étais d’ailleurs certaine qu’elle l’avait fait exprès. Une ...