1. De Papillon De Nuit à soumise (10)


    Datte: 11/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fois ses doigts impeccables, je me suis retrouvée dans un tel état d’excitation que je devais être semblable à une camée en manque prête à vendre son âme pour une dose. J’en perdais complètement la tête. — C’est très bien, et je pense – vu tout ce que tu as fait aujourd’hui – que tu mérites une petite récompense, ma chienne. — Merci, Maîtresse Chloé, dis-je humblement. Je me sentais heureuse. Je ne savais pas combien de temps de trajet il nous restait, mais mon temple du plaisir ne demandait qu’une chose. — Maîtresse Chloé, me donnez-vous la permission de me caresser, s’il vous plaît ? J’en meurs d’envie, je vous assure... l’implorai-je, fièvreuse. — Non, tu vas devoir attendre ; mais pas très longtemps, rassure-toi ! Regarde un peu où nous sommes : ça ne te rappelle rien ? me demanda-t-elle en désignant un petit bois. Je reconnus cet endroit, malgré la nuit noire : c’était là que nous avions été prises d’un désir violent l’une pour l’autre. Je devenais complètement dingue à force d’attendre... La voiture s’enfonça dans le bois afin, j’imagine, de nous mettre à l’abri d’éventuels voyeurs, bien qu’au final me faire mater n’avait aucune importance pour moi, dans mon état. Une fois la voiture à l’arrêt complet, ma Maîtresse coupa le contact ; nous nous retrouvâmes dans le noir le plus total, la nuit et les bois partiellement éclairés par une moitié de lune. — Pfiouuu ! souffla-t-elle en se calant au fond de son siège. Enfin une petite pause. Je n’étais plus brûlante, mais ...
    ... incandescante de désir, et je me jetais sur elle afin de la dévorer de baisers lorsqu’elle me stoppa net dans mon élan. — Ça suffit ! Descends tout de suite de cette voiture ! m’ordonna-t-elle d’une voix autoritaire. Je fus un peu inquiète tout de même, mais j’obéis. Cette attente devenait tout simplement insupportable ; j’avais faim, soif ou n’importe quoi, et j’étais prête à tout faire qui puisse me satisfaire sexuellement pendant le temps que ça durerait... Absolument tout ! Je me retrouvai donc dehors, devant la voiture, la chatte tellement trempée que mon jus commençait à couler le long de mes cuisses ; Maîtresse Chloé sortit peu après moi. Je tremblais à moitié d’excitation, mon sang était bouillant dans mes veines et mon cœur battait la chamade. Je balayai les alentours du regard, recherchant d’éventuels voyeurs, mais il n’y avait personne. — Mets les mains sur le capot et cambre-toi ! — Oui, Maîtresse Chloé. Je posai les mains sur le capot de la voiture. Elle vint alors derrière moi, releva ma minijupe, exposant mon intimité à l’air doux de la nuit. Je n’osais pas regarder ce qu’elle faisait, mais je sentis uneclaque, petite mais ferme s’abattre sur les fesses, ce qui me procura un frisson agréable. — Cambre-toi mieux que ça ; et jambes écartées, ma chienne ! Comme si tu voulais inviter le premier mec qui passerait dans le coin à te défoncer le cul. J’obéis en silence. Je devais ressembler à unejeune femme qui venait de se faire arrêter par la police pour je ne sais quel ...