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La P ... respectueuse
Datte: 12/02/2018, Catégories: Anal Humour, Mature,
... espérer des rêves de promotion. Peu à peu mon amertumese mua en cynisme. Il me fallait me venger des hommes.J'étais devenue une sorte de proie. Les premiers temps j'eus crainte quemon mari ne me reprocha mon accoutrement. En effet j'arborais maintenantune jupe courte, des bas et des escarpins. Je ne dédaignais pas demontrer ma culotte sexy et dont la transparence n'était la moindre desqualités. Les autres filles en étaient offusquées. Leur audace n'allaitjusque-là. Je savais que le moindre mec en baverait et serait à mespieds. A la façon d'une alcoolique j'étais portée par l'ivresse desubjuguer tout homme. J'étais devenue ce qu'on appelle : une femme facile.Ainsi me prit-il fantaisie un soir de marquer une halte dans un bistrot.Celui-ci étai empli d'une majorité d'hommes. Je ne pus passer longtempsinaperçue. Instinctivement je vins me ranger auprès de celui qui meparaissait le mâle dominant. Je fis en sorte de paraître sensible à sonbaratin. D'âge mur il impressionnait par sa force bestiale et un visagecouturé de cicatrices. Je songeais qu'il ferait mon affaire et que lesautres autour n'auraient qu'à s'incliner. Jambes flageolantes et toutemouillée j'attendis mon sort. Nous allâmes dans sa voiture.Je dus cependant évacuer toute équivoque. Un instant en effet il avaitcru que j'étais une de ces bourgeoises, prostituée d'occasion. Il étaitinconcevable à cet orgueilleux de payer pour baiser. Il se réjouit dedécouvrir que seul le vice et les sensations fortes m'avaient amené là.Il ...
... me loua pour ma pipe à la fois douce et énergique. Il me dit qu'ilétait assez familier de mon genre salope. D'autres femmes perduesvenaient des fois échouer dans ses parages. Comme d'autress'ensevelissent dans l'alcool, elles demandaient qu'à être foutues ethumiliées telle de basses créatures. Cela reflétait ce soir-là monprogramme.Cet homme grossier et éloigné de ma condition me procurait la jouissancerecherchée. J'étais sa divine surprise. Sur moi il se vengeaitassurément de ses humiliations. Il voulut savoir de ma vie. Il ne futpas mécontent d’apprendre que mon mari bandait mou. Il m'assura que jeserais ici toujours la bienvenue. J'aimais la queue et ne faisait nullemanière sur toutes ses fantaisies. Il est vrai qu'une heure durant il mebourra l'un l'autre trou au fond de la voiture. J'en sortis magnifiqueet toute revigorée. Aucun au bureau ne m'avait sauté de la sorte. Jetrouvais ce jour-là de la vertu au peuple. Il m'importa peu de luiabandonner ma culotte en trophée.Je devins une familière du bistrot. D'autres obtinrent le mêmeprivilège. Il ne me déplaisait pas d'être leur chose. Ils avaientdécrété que j'avais le feu au cul et qu'il me fallait cela avant que derejoindre mon mari. Il semblait que d'autres bourgeoises alentoursacrifiaient au même rite. Je vins à sympathiser avec l'une d'elles.C'était une femme raffinée. Grande blonde et d'un âge avancé. Elletouchait aux soixante. Je sus que son mari était un notaire du coin. Illui passait ses fantaisies. Le bougre de son ...