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La P ... respectueuse
Datte: 12/02/2018, Catégories: Anal Humour, Mature,
... d'autorité jelui mis la main au paquet. J'aimais faire cela à certains hommes. Jefrémis de sentir sa bite à travers la toile et m'enquis de la caresser.Il ne fit pas de manière après que j’extirpa celle-ci. Je le suçaisaccroupie sans considération pour les autres dont on entendait lebrouhaha au salon. J'espérais presque que quelqu'un nous surprit encette position. Cela m'excitait d'autant. Je n'en pris pas moins montemps. Je voulais montrer à cet abruti que ma réputation n'était pasgalvaudée. J'obtins enfin qu'il allât au bout et me lâcha son foutredans la bouche. Je le plantais là pour aller en la salle de bain merincer. Triomphante je vins rejoindre les autres. Assise près de sonépouse je ne l'en toisais pas moins face à moi.Cette soirée affectant de plaisanter avec sa femme, je ne l'en allumaispas moins. Croisant et décroisant les cuisses. Je montraisostensiblement entre celles-ci ma culotte transparente où l'ondistinguait des poils pubiens. Il me plaisait de savoir qu'il bandait denouveau. Je pris sur moi de n'aller courir jusqu'à lui pour recueillirune seconde fois sa bite dans la bouche. Je savais dès que possiblequ'il accourrait se soulager en moi. Je n'attendis longtemps. Lelendemain peu après que je fus rentrée, il sonna. Mon mari ne rentraitde suite. Il me prit debout contre le frigo. L'insulte se mêlant à sesruades. Je triomphais. J'accueillis le doux nom de pute.Le goret mainte fois débarquait aux mêmes heures. Il lui prit cettefantaisie d'aller baiser dans le ...
... lit qu'il savait conjugal. Il n'eûtcure des protestations où je lui suggérais d'adopter la chambre à côté.Il trouvait bon que nous fassions souffrir le sommier où son meilleurami dans quelques heures se répandrait en ronflements. Moi même j'yrencontrais une certaine qualité de jouissance. Mon mari ne m’avaitjamais enculé dans cette couche. Un autre à présent s'assurait de latâche. Mi-honteuse je m'empresserais plus tard de changer les draps.Henri non content de m'avoir sauté n'en voulait pas moins attendre monmari pour papoter et savourer du Whisky. Je suis sûre à peu près que monmari devinât la qualité des relations que j'avais avec son meilleur ami.J'ai plutôt honte pour ce dernier qui aurait du davantage que moi êtreatteint de remord. Au contraire il ne put s'empêcher de se vanter de sabonne fortune. Les autres mâles furent vite au courant. Ils voulurentobtenir leur part de gâteau. Je ne pouvais décemment le leur refuser.Henri désappointé du se résigner à me partager. Je tâchais de contrôlerles rendez-vous.Il y eût un jour télescopage. J'en ris encore. Henri justement setrompa. Il prétexte jusqu'à ce jour de sa bonne foi. Il se trouva dansla cuisine avec un autre. Tous deux éclatèrent de rire. D'un même élanje les branlais et suçais tour à tour. J’avais pris habitude avec mesamis du bistrot d'être des fois objet de plusieurs mâles. Ce mot detournante me ravissait. Cette fois-là dans la cuisine sur le carrelageje dus subir leurs assauts et au final une double pénétration. ...