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La P ... respectueuse
Datte: 12/02/2018, Catégories: Anal Humour, Mature,
... côté collectionnait lesjeunes filles. Elle avait une prédilection folle pour l'ouvrier, lechômeur voire le nègre ou l’arabe.Il lui importait surtout d'être baisée et rabaissée. Elle assumaittranquillement ce masochisme. Il lui avait fallu un certain temps pourdécouvrir le secret vrai de sa jouissance. On la surnommait : lamarquise. Cela lui allait bien. Elle ne se déparait jamais de son flegmeet d'un visage indifférent même quand un type l'enculait dans la voitureet que nous passions à leurs côtés. Elle m'enviait d'avoir recouruplutôt qu'elle aux amants. Elle me dit que de toute façon il n'y avaitpas d'autres moyen de soutenir un mariage. J'approuvais. Il m'étaitinconcevable de quitter mon mari.Si je pouvais éprouver plus de remord à l'égard de celui-ci ce fut àcause de mes autres avanies. Notamment je crus devoir céder auxinspirations impérieuses de ma perversion en répondant aux avances decertains proches, amis et familiers de mon mari. Il n'était pas rare quenous recevions ses complices de bridge et de tennis avec leur conjoint.Nombre étaient hâbleurs et hommes à femmes. Mon mari au milieu de cesmachos n'en paraissait que plus fade. Tous l'aimaient cependant fortsincèrement. Il avait une qualité de sagesse et de bon conseil que touslouaient. C'était une sorte de saint.Je ne cache pas que sa vertu m’irritait voire m'humiliait. J'aimanifestement voulu me venger. Je ne suis pas moins sévère avec ceux quile trahirent avec moi. L'un d'eux me concéda un jour qu'il trouvait ...
... monmari aveugle et imbécile. Il était notoire que j'étais une fourbe et unevicieuse. Nombre n'aspiraient qu'à me sauter. Dans ce nid de vipères jen'avais que l’embarras du choix. Pourtant je jetais mon dévolu lapremière fois sur Henri le meilleur ami de mon mari. Presqu'un frèrepour lui. Ce Henri avait eu l'audace de venir me sermonner. Il trouvaitinconvenant que je donnas prise aux ragots.Je savais à ce coquin nombre de maîtresses lesquelles eussent pu êtreses petites filles. Ce vicieux dont je détestais sa gourde de femme nemanqua pas d'air ce jour-là. Je décidais sur le champ de l'attirer enmes filets. Je voulais lui donner une leçon et établir par la preuve parneuf qu'il était non moins immoral que moi. Je me souviens de cettecirconstance. Nous discourions dans la cuisine. C'était au mois de mai.La fenêtre était ouverte. C'était les premières chaleurs. Clope au becj'arborais après le boulot une mini jupe et des bas et des mules au piedassez vulgaires. Plus d'une fois et à dessein me baissais-je devant lui.J'escomptais bien qu'il se rinçât l’œil et vit notamment que je portaisun string et que j’avais la fesse ferme. Le résultat ne se fit pasattendre. Une bosse caractéristique marquait un certain endroit dupantalon. A mon regard précis il rougit. Je souris. Je lui dis avec unevulgarité calculée : "Je vois que je te fait bander. C'est bien la peinede me sermonner." Ne lui laissant le temps de répondre j'annulais en uninstant la courte distance entre nous. Je fus sur lui et ...