1. Elle n'est pas qu'à moi (1)


    Datte: 15/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... dos. L’enjambant, il approcha son sexe de la bouche de ma copine. Il s’enfonça entre ses lèvres et lâcha son sperme. Mélanie avala le tout. Puis Rodrigue se tourna vers moi : « Tu peux te branler puisque tu en as envie. — S’il te plaît, fais ce qu’il te dit, me supplia Mélanie. » Honteusement, je baissais mon boxer et commençai à me branler. Voulant m’approcher du lit pour finir, je fus arrêter par Rodrigue. Je finis donc par jouir sur le sol. « Tu peux nettoyer. » Je le fis tandis que Mélanie et Rodrigue s’installaient dans le lit. Lorsque j’eus fini, je voulus m’approcher du lit pour me coucher mais Rodrigue m’arrêta de nouveau. Il m’ordonna d’aller dormir sur le canapé devant le regard étonné et honteux de Mélanie qui n’intervint pas. Je fis donc demi-tour et allai me coucher dans le canapé. La nuit fut courte et sans sommeil. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Mélanie dans les bras de Rodrigue. Assez étonnement, cette pensée arrivait à me donner une belle érection. Étais-je devenu un de ces hommes qui aime voir sa femme prise par un autre ? Je ne pense pas. Mais je n’étais pas jaloux… juste ‘perturbé’ par la situation. Le lendemain matin, je m’affairai à préparer le petit déjeuner quand Rodrigue descendit suivi de Mélanie, entièrement nue. « J’avale un petit déjeuner en vitesse et je rentre rejoindre ma femme et mes fis. — Vous… vous reviendrez ? Balbutiai-je. — Bien sûr ! On ne peut pas se passer d’une salope comme Mélanie. » Quelques minutes plus tard, Mélanie, ...
    ... toujours nue, raccompagnait Rodrigue à la porte de notre appartement. Puis elle se retourna vers moi et s’écroula… en pleurs. « Tu dois me détester, dit-elle entre deux sanglots. — Je ne pourrai jamais te détester. — Même si… ? — Tu m’aimes ? Tu as pensé à moi pendant qu’il te prenait ? — Oui, j’avais honte et je me sentais mal pour toi. — Alors je ne peux te détester… mais je veux que tu me suces tout de suite. » Avec ce sourire aux lèvres qui m’avait tant manqué, Mélanie s’approcha de moi et libéra mon sexe. Elle l’engloutit entièrement. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, ses mains… Elle me donnait du plaisir avec toutes les parties de son corps. Jamais elle ne m’avait aspiré à ce point dans sa bouche. Elle se força même à une gorge profonde qui fit de nouveau couler des larmes dans ses yeux. Alors que j’étais bien au fond de sa gorge, elle sortit sa langue et me caressa les testicules avec. Ceci, bien nouveau pour moi, me plut au plus haut point. Ses deux mains fermes agrippaient mes fesses pour m’empêcher de partir. Mais je n’en avais pas du tout envie. Bien évidemment, l’excitation de la nuit et la caresse de ma compagne eurent raison de mes dernières résistances et je jouis dans cette bouche offerte. J’eus l’impression que mon orgasme ne s’arrêterait jamais et que je déversais des litres de sperme dans la gorge de ma copine. Lorsqu’elle me relâcha, aucune goutte de sperme ne perlait sur ses lèvres. Elle avait tout avalé. « Je vais prendre une bonne douche et vais enfiler une ...
«1...3456»