1. Le Dieu Cheval


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, hplusag, grossexe, campagne, hdomine, facial, Oral pénétratio, fsodo, conte, fantastiqu, contes,

    Je suis Ekwoos, le Dieu Cheval, et j’adore galoper sans fin dans les vastes plaines du monde ici-bas, situé entre lever et coucher du soleil. J’adore aussi saillir toutes les pouliches que le hasard met sur ma route, m’épancher en elles, les rendre pleines et grosses afin que plein de petits poulains puissent à leur tour parcourir les vastes plaines vertes et légèrement vallonnées. Aujourd’hui, je me suis aventuré dans une petite vallée au milieu des collines, un lieu que je connais mal. Il y a tant d’endroits à explorer, mais j’ai tant de temps devant moi. Alors je trottine au gré de mon humeur, grimpant les collines, explorant les bois, sautant les ruisseaux. De façon curieuse, je ne vois pas l’ombre d’une seule pouliche. Je ne rencontre pas non plus grand monde, pas d’humain et très peu d’animaux. Au lointain, mes yeux perçants dénichent une petite cabane. D’habitude, je préfère éviter les bipèdes, mais je sens dans l’air une bonne odeur, et une seule. Je décide d’aller voir de plus près, car, en dehors des saillies, les occasions de se divertir ne sont pas très fréquentes, surtout quand on voit défiler les siècles et les millénaires. Devant cette cabane faite de bois et de boue séchée, je découvre de dos une jeune humaine nue en train de se laver. Elle frotte lentement son corps d’une étoffe blanche, le spectacle me semble singulier. Silencieusement, je m’approche plus encore à petits pas. Cette jeune humaine est solidement charpentée, ses jambes bien rivées au sol, sa ...
    ... croupe large et accueillante, sa noire et longue crinière balaye son dos reposant ; je distingue néanmoins quelques reflets roux dans ses crins. Elle chantonne un air harmonieux, sa voix est reposante. M’entendant approcher, elle se retourne, et je constate que l’endroit vaut l’envers. Ses yeux verts illuminent un visage à la fois poupin et averti, cette donzelle doit avoir déjà connu le loup. Ses lèvres sont pulpeuses, mais pas trop. Son nez est peut-être un peu plus long que la moyenne, mais je trouve que ça lui sied bien. Ses deux mamelles me semblent propices à allaiter et à être malaxées à souhait. Son ventre rond indique une indéniable bonne santé, et son nid velu et charnel semble fort accueillant. Même si elle est indubitablement une humaine, elle a un air de belle pouliche. Et pour la première fois de ma longue vie, je me sens titillé par une jeune femme. Je me demande bien pourquoi je porte tant d’intérêt à une donzelle qui n’a même pas quatre pattes pour se mouvoir ! Un grand sourire irradie son visage presque enfantin. Elle s’adresse à moi : — Allez, viens, approche… Amusé, je m’approche de cette jeunette. Elle pose sa douce main sur mes naseaux, j’aime ce contact, je me laisse faire. Elle me parle doucement, me caresse longuement, je crois que j’ai bien fait de venir faire un petit tour par ici. Aucune autre odeur aux alentours, cette donzelle doit vivre seule, je suppose, ce qui est étonnant, car je pensais que les humains vivaient plutôt en groupe. — Tu es un bel ...
«1234...11»