Le Dieu Cheval - Histoires de Sexe

Le Dieu Cheval

... étalon, un très bel étalon ! C’est bien la première fois que j’en vois un aussi beau ! C’est normal que je sois un très bel étalon, ne suis-je pas un Dieu ? — Dommage que je ne sache pas monter à cheval, sinon ça m’aurait plu de faire un petit tour sur ton dos, toute nue ! Mais bon, n’en parlons plus… Elle fait un pas puis deux, caressant à présent mes flancs, ce qui est très agréable, quand soudain elle s’arrête, murmurant : — Tiens, en parlant de ça… Impudique, elle s’accroupit pour venir à la hauteur de mon long sexe bien raide. Elle le regarde bien sous toutes les coutures avant de s’exclamer : — Dieux du ciel ! Comme tu es bien monté ! Si au moins un garçon du coin était comme toi, je ne te dis pas la fête que ça serait chaque soir ! Hésitante, elle tend quand même la main, c’est alors que je me métamorphose, me transformant en humain, sauf ma tête, ainsi qu’une longue crinière qui parcourt mon échine. Devant ses yeux hagards, je révèle alors un corps carré, massif, musclé, tout en puissance, mes attributs virils bien en évidence et en forme. À cette vue, la jeune femme prend peur et se jette devant moi, se prosternant à mes pieds, sa croupe bien relevée, nettement plus haute que sa tête : — P…pardon, Seigneur… je… je ne savais pas ! Pardonnez mon outrecuidance ! Elle tremble de tous ses membres, et de la croupe aussi. Décidément, cette petite femelle possède un séant très attractif. Je sens que je vais me laisser tenter par une petite expérience. — Relève-toi, petite ...

... humaine. Il est vrai que tu t’es comportée de façon bien leste avec un Dieu. Elle se redresse un peu, restant néanmoins agenouillée, par crainte et par respect : — Pardonnez-moi, Seigneur. Co…comment puis-je réparer ma grande faute ? Nous y voilà. J’aurais pu imposer ma volonté, mais c’est plus amusant que la proie s’offre d’elle-même. D’un air détaché, je réponds : — C’est vrai que ta faute est grande, mais il y a moyen d’en effacer la trace…— Merci, Seigneur ! Dites-moi quoi faire !— C’est très simple, je suis intrigué par ta petite personne, c’est bien la première fois qu’une jeune humaine m’intéresse.— Je… je vous intéresse ? Ce… c’est un grand honneur, Seigneur ! Elle incline respectueusement de la tête, toujours agenouillée face à moi, son visage au niveau de mon vit bien massif. Je continue : — Oui, tu m’intéresses, petite humaine, et ça m’intrigue…— Vous dites ça à toutes les femmes que vous rencontrez ! Je fais semblant de me fâcher : — Comment oses-tu mettre en doute ma parole ? Une parole divine !— Pardon, pardon, pardon, mon Seigneur, je ne le ferai plus !— Très bien ! J’ignore comment sont vraiment faites les humaines, bien que j’ai quand même quelques notions. Mon actuelle interrogation est : est-ce qu’une humaine comme toi vaut une pouliche ? Levant la tête, elle me regarde de ses grands yeux verts étonnés : — Est-ce que je vaux une pouliche, Seigneur ?— Je suis un Dieu Cheval, il me semble, donc je m’intéresse aux pouliches, pas aux écureuils ni aux poissons.— ...