1. Le Dieu Cheval


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, hplusag, grossexe, campagne, hdomine, facial, Oral pénétratio, fsodo, conte, fantastiqu, contes,

    ... légèrement la tête : — C’est vrai, Seigneur…— Arrête avec tes « Seigneur », c’est lassant de te l’entendre toujours dire et répéter. Surprise par ma réponse, elle lève son menton vers moi : — Mais… mais vous êtes un Dieu, Seigneur ! Oh, pardon !— Je sais que je suis un Dieu, ça fait des milliers et des milliers d’années que je suis une divinité, mais restons simple. Je dois reconnaître que cette façon de se faire pardonner est très intéressante. Je recommencerais bien !— Ah ? Vous pouvez être d’attaque assez vite ?— Sache, jeune impertinente, que je n’ai pas besoin de temps de repos entre chaque éjaculation ! Je peux saillir cent juments, mille juments d’affilée, les remplir toutes de ma semence, sans nullement faiblir ! Ne suis-je pas un Dieu, comme tu l’as si bien dit ? Elle se fend d’un sourire ambigu : — Ça laisse rêveuse…— Pourquoi ?— Les garçons et les hommes n’ont pas votre… euh… capacité. En général, en deux-trois coups, ils sont vidés… Et ce ne sont pas des bols et des bols comme vous…— Décidément, les mâles humains ne sont pas très performants…— Vous êtes quand même un cheval, si je puis me permettre, ou plus précisément un Dieu Cheval. Et les chevaux sont réputés pour leur vaillance au sexe…— Et je te le prouve tout de suite ! Resuce-moi !— Avec plaisir, Seign… euh… Monsieur… Maître… ?— Ekwoos est mon nom. Elle sursaute : — Ekwoos ? Le Dieu Ekwoos ?— Tu connais d’autres Ekwoos ?— Non, non, mais je… je suis surprise !! Vous êtes le vrai Ekwoos ? Je croyais que ...
    ... vous étiez un esprit local…— Si je te le dis ! Tu connais beaucoup de quidams qui se métamorphosent de cheval en humain comme moi ? Et d’humain à tête de cheval ?— Non, c’est vrai… excusez-moi… Les esprits locaux ne savent donc pas se métamorphoser comme vous ? Je fais un petit geste dédaigneux : — Non, ils sont très limités, question pouvoir. Ceci dit, oser me confondre avec un simple esprit de dernière catégorie, c’est vexant !— P…pardon, Maître… je ne savais pas…— Tu as beaucoup à te faire pardonner, toi… Elle sourit étrangement : — Oh, je parie que ça vous plaît…— De quoi ?— Que je doive me faire pardonner…— Tu es bien impertinente, petite humaine, mais comme tu es une intéressante pouliche à ta façon, et que j’ai diverses expériences à mener, je fermerai les yeux sur tes égarements.— Vous êtes trop bon, mon Dieu. Le ton de sa voix est un zeste impertinent. Elle recommence son petit manège autour de mon vit bien raide. C’est vrai que c’est très agréable, et que ça vaut bien un coït classique. Sans parler du côté singulier de la chose, de nourrir une bouche avide, de la remplir, de la saturer, jusqu’à ce qu’elle soit totalement rassasiée ! Alors qu’elle vient de me faire à nouveau une belle lécherie que j’ai récompensée avec mon bon foutre chaud, je demande à cette jeune humaine : — J’y songe, je t’ai donné mon nom. Et toi, as-tu un nom ? Elle ôte ma verge de sa bouche pour répondre : — Mes parents m’ont appelée Ningal (Ninngal).— Quel nom étrange. Tes parents, dis-tu ? Où ...
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