1. Le Dieu Cheval


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, hplusag, grossexe, campagne, hdomine, facial, Oral pénétratio, fsodo, conte, fantastiqu, contes,

    ... sont-ils ?— Ils sont morts de maladie, il y a deux printemps… pareils pour mes frères et sœurs…— Tu es la seule survivante ?— Hélas, oui…— Je commence à comprendre certaines choses… Tout ceci est bien triste… Je n’aime pas trop ce côté sombre qu’elle m’expose. Je préfère bifurquer : — Ningal signifie quelque chose ?— D’après ma mère qui le tenait de sa propre grand-mère, ça veut dire « lune » ou « grande dame ». Menesi (Ménéssi) en est la traduction. D’ailleurs, mon père m’appelait comme ça.— Lune ? Ah bon ? J’aurais plutôt pensé en voyant ce disque lumineux dans le ciel nocturne que c’était masculin. Je connais d’ailleurs plusieurs Dieux de la lune, un selon chaque quartier. Toujours sagement agenouillée à mes pieds, son nez à deux doigts de ma verge triomphante, elle développe : — Il y a une explication, Seigneur : la grand-mère de ma mère venait d’une autre contrée assez lointaine, près d’un grand lac salé qui bouge, disait-elle.— Un grand lac salé ? Il n’y a pas de ça par ici. Il y a bien des rivières, des lacs, des marais, mais rien de salé. Et rien qui ne bouge vraiment, sauf lors des crues de printemps. Étrange… disait-elle la vérité ? Une furtive lueur de reproche éclaire ses yeux verts. Elle réplique : — Je pense qu’elle disait vrai. D’ailleurs, c’est d’elle que je tiens mes yeux verts et certaines de mes particularités.— Il est vrai que tu ne ressembles pas beaucoup aux jeunes humaines que j’ai pu croiser dans les plaines vertes. De plus, tu n’as pas un nom ...
    ... d’ici. Peut-être disait-elle la vérité concernant ce grand lac salé qui bouge. Pourtant, je peux t’affirmer que j’ai parcouru bien des contrées vers le lever du soleil ou vers le coucher du soleil sans rencontrer que tu viens de me dire. Alors que je n’ai rien demandé, elle s’empare doucement de mon vit. Tout en me branlant délicatement, ce que j’apprécie beaucoup, elle argumente : — Elle disait qu’elle venait d’où le soleil est au plus haut.— Par-delà les montagnes dans ce cas. J’ignore ce qu’il y a de l’autre côté, j’ai bien tenté par deux fois, mais le froid et la rudesse des pentes m’en ont dissuadé. Spontanément, elle réplique, incrédule : — Vous, un Dieu, vous avez été empêché ?— Je ne suis un très grand Dieu, hélas ! Juste un grand Dieu. Mais je ne suis pas trop mal placé dans la hiérarchie. Je suppose que Soohul (Sôhoul), le Dieu Soleil, peut aller de l’autre côté, vu sa puissance.— Vous… vous avez déjà parlé au grand Soohul ?— Ça m’arrive de temps à autre, mais il vaut mieux ne pas trop s’approcher de lui quand vient le jour ! Trêve de bavardage, occupe-toi de mon membre viril qui apprécie beaucoup les gâteries que tu lui procures !— Bien, Maître Ekwoos ! Puis entre ses lèvres et du bout de sa langue, elle s’applique à nouveau à me procurer tant de bien. J’en profite pour inonder sa bouche plusieurs fois, et à chaque fois, mon sperme déborde de sa petite bouche et ruisselle sur tout son corps. Un spectacle qui ne me laisse pas indifférent. Quelques fellations plus tard, ...
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