1. Le Dieu Cheval


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, hplusag, grossexe, campagne, hdomine, facial, Oral pénétratio, fsodo, conte, fantastiqu, contes,

    ... efficace dans une vulve d’humaine. J’ai hâte de passer à la suite. Essayons à présent par-devant. Elle se couche sur le dos dans l’herbe, écartant un maximum les jambes. Je comprends tout de suite comment je suis censé me placer. Il est vrai que j’ai deux bras et un corps différent. Position un peu curieuse, mais quand j’entre à nouveau en elle, je me dis que c’est aussi une bonne découverte. Frotter mon pubis contre le sien, c’est jouissif, sans parler du fait que je sens ses deux mamelles écrasées contre mon torse. Je fais attention de ne pas transformer Ningal en feuille plate, il est vrai que je pèse mon poids. — Ouiii… comme ça… Oh pardon, Seigneur…— Non, non, dis ce que tu as à dire… Laisse-toi aller, sans complexe et sans crainte… Fais comme si j’étais un mâle humain normal.— Bien Maître… Et elle commence à chanter à nouveau tandis que je la baratte copieusement. Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle gémit, elle m’entraîne dans une longue mélopée entrecoupée d’ordres : Et par trois fois, elle jouit, et par trois fois, je l’inonde copieusement. Puis après un petit repos, elle se place de côté, me demandant de me plaquer contre elle. Je vais de ce pas m’offrir une nouvelle position. En effet, c’est différent, mais ça vaut l’essai ! Moi aussi, je me laisse aller, je hennis tout en la limant avec force, alternant les mouvements rectilignes avec les mouvements circulaires, ce qui la fait gémir de plaisir. Je saisis ses mamelles à pleines mains et je les malaxe, c’est ...
    ... très bon ! Je glisse ma longue langue sur son cou, elle soupire d’aise : — Aaah ! Oh oui, oui, ouiii ! Elle est prise, capturée, comblée, remplie. Sous mes mains, ma langue et ma verge, son frêle corps exulte, puis elle jouit à nouveau, cambrée, tétanisée, puis elle se laisse aller contre moi, ahanante, trempée, ruisselante, totalement rassasiée… Pâmée, elle soupire d’aise : — Ah que c’était booon ! Je vais mourir si ça continue comme ça, mais c’est trop bon !— Ne t’inquiète pas, j’irais te rechercher dans la Contrée des Ombres s’il le faut.— Vous êtes trop bon, Maître Ekwoos ! Mais j’aimerais éviter, voyez-vous… Nous recommençons, plusieurs fois, je ne fais plus le compte : elle sur le dos, sur le ventre, sur le côté, assise, debout, accroupie ; moi dessus, dessous, sur le côté. Le corps humain permet beaucoup de variantes, c’est certain. Par rapport aux chevaux, le nombre de combinaisons semble presque infini, limité seulement par l’imagination et parfois la souplesse. Elle est vautrée sur l’herbe, ruisselante, quasiment épuisée. Je lui demande : — Avons-nous fait le tour des positions ?— Je crois que oui, dans les grandes lignes… Après, il reste des tas de variantes… sans compter celles qui sont acrobatiques…— Je comprends, donc nous avons fait le tour en général.— Pour ce qui est de la bouche et de la chatte, je pense que oui, Maître… À cette réponse, je m’étonne : — Pourquoi, il existe une autre possibilité ? Ah oui, je suis bête ! Je crois avoir deviné…— Euh… oubliez, ...