1. Les chroniques de Nature Et découvert : Anvers et damnation


    Datte: 16/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plus…spectaculaire que lors du trajet. Les cheveux de Pussy avaient poussé, depuis la Bretagne. Elle les entretenait dans une alternance de coupes excentriques toujours connotées Cold-Wave et de lissage classique qu’elle pouvait garder en cheveux longs avec ou sans queue de cheval. Ce soir-là, elle avait tiré sa chevelure ainsi, ce qui dévoilait son cou sensuel et ses oreilles toujours ornés de colliers et boucles métalliques, nombreux et voyants. Son maquillage refait en express mais avec talent soulignait ses beaux yeux bleus par des dégradés subtils de gris aux paupières. Ses lèvres étaient pulpeuses et appétissantes. Son haut était un caraco bleu satiné sans manche, qui évoquait plus une nuisette qu’autre chose. Car s’il n’était pas transparent, il laissait voir sans mal les seins de ma compagne, qui avaient bénéficié de sa période pas si ancienne de maternité. Non seulement la matière du mince vêtement épousait les aspérités de ses aréoles, mais chaque changement de position pouvait permettre une vue intéressante de sa poitrine, toujours hâlée. A ses pieds, Pussy avait opté pour ses habituels talons-aiguille noirs, ce qui se conjuguait avec ses traits et sa taille pour la mettre en phase avec le public flamand de La Rocca. Mais c’est au niveau de son vêtement du bas qu’elle nous avait réservé une divine surprise. Je connaissais les talents et le goût de mon épouse pour la création de vêtements parfois subtilement érotiques. Sa lingerie m’était aussi connue. Mais je ...
    ... n’avais pas vu venir le très simple mais très provocateur leggins lycra noir, entaillé de manière asymétrique, qu’elle s’était « trafiqué » quelques jours avant : le côté droit de la mi-cuisse jusqu’à la hanche (révélant l’absence de culotte ou de string), le mollet gauche également très visible. Mais il fallait un tout petit peu plus d’insistance pour distinguer l’indécence du vêtement. Marchant vers mes copains et moi, Pussy affolait nos sens et ses pas lui permettaient de dissimuler ce qu’elle voulait dissimuler…pour le moment. C’est une fois arrivée devant nous trois, à quelques mètres de l’entrée de la discothèque, que j’ai pris conscience de certains détails. D’abord, dans la semi-obscurité de la nuit anversoise, il fallait un peu d’insistance sur le bas-ventre de ma femme pour distinguer qu’il y avait curieusement une légère différence d’aspect sur 2 ou 3 cm de haut et à peine quelques millimètres de large. Et c’est en réalisant qu’elle avait depuis quelques semaines et pour la première fois depuis 6 ans entretenu une très fine toison pubienne que j’ai compris le jeu de ma compagne. Oui, il y avait bien une fente dans son leggins, qui laissait entrevoir la fine bande de poils que Pussy avait laissé repousser et épilée, juste au-dessus de son clitoris. Cette vision me fit regarder alternativement mes amis, mon épouse puis son entrejambe, et je réalisais qu’ils avaient fini par voir la même chose que moi. Mais c’est au moment de la fouille par les costauds vigiles de La Rocca ...
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