La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°745)
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ensuite un long moment durant lequel, il n'a jamais cessé de me tenir par le sexe, ses doigts entre mes lèvres intimes, tout en m'enculant profondément. Au bout d’un moment, il se retire sans éjaculer et m’oblige à lui nettoyer sa verge raidie et souillée. J’obéis avec une gourmandise qui me surprend moi-même… Puis il se retourne vers Clara toujours couchée au sol, jambes largement écartées qui a redoublé ses déhanchements de plaisirs à décoller ses fesses du sol. C’est avec la verge en forte érection que le Maître lui dit : - Ca t’excite, hein ! petite femelle … Mais, tu es pucelle, Ma chienne eh bien, je vais prendre possession de ta virginité... Et de plein droit, dit le Maître, tu es Ma propriété désormais .... Ses mots sont dits dans un souffle en se couchant en position du missionnaire entre les cuisses de Clara qui dans son excitation écarte encore plus les cuisses. Et c’est sur chienne Clara que le Noble pousse d’un coup de reins puissant son bassin pour enfoncer sa bite dans cette chatte vierge et fort trempée... Clara a la respiration très rapide comme si elle jouissait déjà. Alors qu’elle se fait dépuceler, elle halète et regarde ...
... le grand lustre de cristal au plafond, au-dessus d'elle. Elle sent un épais bout de chair dur dans son intimité, déflorer son hymen, ses lèvres se mettent à trembler légèrement et son souffle s’accélère encore lorsqu'elle sent le Vit du Noble si raide la besogner en elle à grands coups de reins cadencés et ininterrompus… Le Maître est en elle, il va et vient encore et encore, s'enfonce, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit de plaisirs mais aucun son ne sort de sa bouche, muette à jamais. Elle se sent possédée, bien remplie, baisée, elle se sent enfin être une femme, tout simplement. Et Clara souhaite tellement cette verge tout entière en elle, qu’elle écarte encore plus les jambes. Le sexe du Marquis la possède désormais pleinement, sauvagement, bestialement dans des ‘’han’’ à chaque coup de boutoir... Longuement il la baise ainsi, savourant pleinement la fin de cette virginité si longtemps préservée et qui a cédé face à Son Pouvoir le plus absolue... C'est sur ces mots que ce nouveau récit de la comtesse du Dranier termine la page de son journal intime sur laquelle est penché Monsieur le Marquis Edouard d'Evans ... (A suivre …)