1. La coiffeuse et le coiffé


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... que lorsqu'il la sodomisa sur le canapé, c'est à peine si elle sentit le gland franchir la barrière des sphincters. Elodie ne se souvenait pas avoir été baisée aussi longtemps, elle qui se faisait sauter par son compagnon la plupart du temps en deux coups de cuiller à pot, ce qui lui convenait. Mais cette baise au long cours lui procurait une satisfaction profonde, tellement qu'elle ne souhaitait pas la voir s'arrêter. A force de bramer, ses cordes vocales devenaient fatiguées et sa voix rauque. Ses yeux étaient de plus en plus cernés de violet, ses seins lui faisaient mal à force de remuer en tous sens, tandis que les joues de son amant se creusaient et le bout de sa pine rosissait. Celui-ci comprimait parfois sa verge afin de se retenir d'éjaculer, trop heureux d'avoir dans son lit une petite nana aussi ardente, aussi peu farouche, à la chair dense et juteuse et aussi expressive dans le plaisir. Un coup en or, assurément. De son côté, Elodie se régalait de ce mâle endurant et inventif, attentif à ses sensations, qui la tournait et la retournait sans débander, à la fois doux et vigoureux. Il la baisait et elle adorait ça. Elle le lui dit entre deux copulations, lui parla de sa bite en la suçotant, le supplia de ne pas jouir tout de suite tandis que lui célébra "son beau cul, fait pour être enculé" et de joindre le geste à la parole tout en glissant une main sur sa chatte pour lui titiller le clitoris. Rincé et en nage, le couple provisoire finit pourtant par s'abandonner à ...
    ... la jouissance. Voyant son amant sur le point d'éjaculer, elle se précipita bouche en avant et absorba d'une goulée une giclée de sperme peu abondante mais gouteuse. Elle s'en lécha les babines. Puis ce fut la douche et l'effondrement dans le lit d'où elle se réveilla beaucoup plus tard, nue et le vagin endolori mais apaisé. Pendant que l'homme dormait, elle s'esquiva sans déjeuner avant de rejoindre le salon où l'attendait Emilie. ********* Quand elle vit arriver son employée, la patronne comprit tout de suite que sa nuit avait été agitée. Non seulement parce qu'elle avait les traits tirés mais aussi parce qu'elle arborait la moue satisfaite de la femelle comblée. Elle l'interrogea et Elodie ne fit pas mystère de l'hommage rendu, notant mêmes quelques détails qui réchauffèrent le bas-ventre d'Emilie. - Eh bien maintenant, tu ne m'embêtes plus avec tes états d'âme, grinça-t-elle à son employée. Celle-ci en conclut que sa patronne, bien que mariée, était un brin jalouse et se le tint pour dit. Elle n'évoquerait plus le sujet. La liaison entre la coiffeuse et l'agent de change fut brève mais intense. L'homme dut partir en mission et à son retour, il ne contacta pas la coiffeuse, qui se résigna. Elle savait depuis longtemps que son amant ne lui serait pas fidèle. Au moins en avait-elle profité pleinement et le souvenir resterait vif longtemps. Elle reprit sa routine de petite coiffeuse, nouant de temps à autres une relation sexuelle sans lendemain, comme elle le souhaitait. Un ...