La parenthèse
Datte: 20/02/2018,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
amour,
volupté,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
humour,
... criant cette fois, droite, tête rejetée en arrière. Effondrée sur ma poitrine, ses cheveux dans ma bouche, elle halète, reprenant son souffle, tout son corps et ses muscles encore tendus et frémissants. — J’en peux plus ! murmure-t-elle. Je ne vais pas pouvoir marcher pendant une semaine ! Tu es gros, puissant… et ma chatte petite et fragile !— Tu en rajoutes, tu ne crois pas ? dis-je, moi aussi essoufflé— Mais non ! Tu as une grosse queue… mais je l’aime ! Et tu voulais m’en priver ! Barbare ! Egoïste ! Une grosse queue, rien que pour moi, j’aime bien dire ça, ta grosse queue dans ma chatte, dans ma bouche, bientôt dans mon… On verra ! Elle éclate de rire, la tête encore sur ma poitrine. Je la sens heureuse, comblée. Quand je pense à la valse hésitation avant d’en arriver là… Loreline ! Celle pour laquelle j’ai tant imaginé, tant espéré et qui est maintenant toute essoufflée contre moi. Pour une surprise ! À cette heure je devais être en train de faire quelques achats de fromage et autres légumes et elle est dans mes bras ! Silencieux, nous dégustons ce moment, chacun dans ses pensées. Puis mes mains la parcourent, flattent ses fesses, ses hanches, ses cuisses. Elle ronronne et ondule, suivant mes caresses. Enfin je lui mordille l’épaule, jusqu’au point où elle aura mal, où elle réagira. — Eh ! glapit-elle en se dérobant, arrête ! Je vais avoir une trace de tes dents !— Un souvenir ! Je te mangerais toute crue, je te veux toute…— On se revoit bientôt, hein ? murmure-t-elle ...
... , j’ai un trop-plein d’amour ! Tu peux quand ? Confusément, je me sens « pris » dans sa toile, mais comme une heureuse victime ! Jusqu’où cela nous mènera-t-il ? Elle n’est pas libre ! En essayant de temporiser, je réponds : — Ben pour moi, quand tu veux, mais toi, tes affaires, heu ! ton mari…— T’occupe pas de ça ! réplique-t-elle, je gère ! Puis en riant elle ajoute, sa bouche dans mon cou à mimer d’y faire un suçon : je t’ai trouvé, je te garde ! Possessive ? Bah ! Tant pis ou plutôt tant mieux. Après tout, elle à l’air de pouvoir assumer. Et moi aussi je l’ai trouvée et je la garde bien volontiers ! Insidieusement, nous nous refroidissons dans cette chambre inconnue et pas chauffée. En frissonnant, elle se pelotonne contre moi, attire mes bras sur ses épaules. Surtout ne pas s’endormir, le propriétaire pourrait à tout moment survenir. Nous sommes quand même « en visite » et nous squattons le lit ! Je lui rappelle ce détail et elle rit à nouveau en me disant : — Je n’oublie pas ! Et je vais te faire signer un « bon de visite », normal, non ?— Tu exagères ! Tu parles d’une visite ! Et tu mettras quoi sur le bon ?— Visite approfondie… pouffe-t-elle en se levant. o-o Le retour est tendre. Elle conduit lentement, comme nous ramenant à regret à la case départ. Regards complices, des mains baladeuses, des rires. Nous sommes bien, sereins. Dans le fond, chacun de son côté avait la même envie, la même pulsion ! Compliquée, la vie ! Que de temps perdu ! — Quand je pense que je t’ai ...