La parenthèse
Datte: 20/02/2018,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
amour,
volupté,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
humour,
... refus, de perdre et de gâcher cette amitié. Mais enfin, un beau jour, sans préavis, une occasion semble se présenter. Alors que j’effectue une énième visite de courtoisie à l’agence, et après l’échange habituel et chaste de bisous sur les joues, elle me lance : — Stéph, si tu veux, j’ai un appart’ à te montrer, un bijou ! Pour un investissement, ça peut être intéressant… Je t’assure, c’est à voir. Ses yeux me vrillent, brillent curieusement. Comment résister ? Décidément, elle est très forte, très commerciale, ou alors… Des pensées coquines, à nouveau, me traversent l’esprit. « Mais non, arrête, c’est un jeu, tu le sais bien… » me dis-je en me reprenant. N’empêche… Bon, je me décide et réplique, tout sourire : — Ok, pourquoi pas, quand tu veux, on prend rendez-vous ?— Oh ! Si tu peux, c’est maintenant. J’ai une ou deux heures de libre… et c’est à côté ! reprend-elle en me serrant fermement le bras. Allez, je t’emmène ? Brusquement, j’ai chaud alors qu’elle me précède en se dirigeant vers sa voiture. Le temps d’un regard vers son mignon postérieur serré dans son pantalon « Diable ! Quelle paire de fesses ! pensé-je, décidément ému », et nous voilà en route. Tout est allé très vite, trop vite. Moi qui fantasmais sur elle, qui me faisais un film… Mais j’essaie de me calmer : « Non, on visite VRAIMENT un appart’, pense à autre chose, cette fille est une enjôleuse, c’est tout ! » Au volant, Loreline conduit lestement, volontaire, sans hésitation, marques d’une expérience certaine. ...
... Je réalise mal que, soudain, elle et moi allons être seuls… alors que, tranquillement, je faisais quelques courses ! — Eh ! Tu penses à quoi ? me jette-t-elle soudain en posant sa main sur mon genou.— Euh… à rien de particulier ! réponds-je en balbutiant tel un gosse surpris en train de faire une bêtise. Cette main sur le genou… Hum ! Le contact m’émeut, un signe, un message ? Elle me jette un sourire entendu. Mais que pense-t-elle ? Et si cette visite n’était qu’une embuscade ? Depuis le temps, depuis des mois qu’elle minaude, qu’elle me fait les yeux doux ! Mais je ne veux pas y croire… Elle cherche à me vendre son truc, oui ! Nous arrivons au pied d’un immeuble cossu et elle se gare à la diable, à moitié sur le trottoir. — Voilà, c’est ici. Pas mal, non ? Très classe. Tu vas voir, l’appart’ est encore mieux ! me lance-t-elle en s’éjectant, plus qu’elle ne descend, de sa voiture. Tu viens ? « L’appart’ encore mieux… ». Tu parles ! Comme je m’en fous ! J’ai la bouche sèche, le cœur battant la chamade, les jambes coupées. Peur. J’ai presque peur. Que va-t-il se passer ? Et encore, je me répète : « Rien, il ne se passera rien, on visite, d’accord ? » Nous attendons l’ascenseur et Loreline m’observe d’un œil amusé. Mal à l’aise, je suis mal à l’aise… Cette nana me rend fou. Enfin la cabine arrive, les portes s’ouvrent et je sens sa main m’entraîner. — Allez, viens ! Dis donc, tu n’as pas l’air emballé… murmure-t-elle. Impossible de répondre. Je suis tétanisé, flottant dans une ...