Une matinée orgasmique - Histoires de Sexe

Une matinée orgasmique

... t’enlever de ma tête… Désolée…— Ne t’excuse pas, ma douce, c’est bien normal. Tu es toujours dans ton lit, alors ?— Oui.— Et l’envie de mes mains se fait plus pressante ?— Oui…— Et pourquoi ne pas te mettre à l’aise et prendre ton plaisir ?— J’aimerais être avec toi…— Non, c’est inutile pour l’instant, tes mains suffiront à te faire vibrer… Sa voix grave et douce à la fois me fait chavirer, j’ai alors commencé à caresser ma poitrine, à travers mon t-shirt d’abord, puis j’ai passé mes mains dessous. — Que fais-tu, dis-moi ? me demanda-t-il.— Je passe délicatement mes mains sur ma poitrine, en évitant mes tétons pour le moment, je passe tout autour…— Pince-les doucement, me coupa-t-il. Fais-les durcir légèrement, en effleurant du bout des doigts, presse ta main dessus, et masse-les, imagine mes mains s’attardant sur chacun de ces bourgeons, mes lèvres les frôlant doucement.— Mmmmm… (Je ne pus réprimer un soupir).— Sont-ils durs ?— Autant que possible, je pense…— Descends ta main sur ton ventre à présent, presse doucement autour de ton nombril et redescends encore… À entendre ces soupirs je viens de découvrir un nouveau point assez sensible… Descends encore ta main… Les mots tendres, une douceur torride, un plaisir diffus… Une envie qui me tenaillait encore et toujours au fond de moi… J’ai commencé à me caresser doucement les grandes lèvres, mon intimité déjà toute humide. — Ne passe pas ton doigt sur ton petit bouton. Caresse-toi tout autour. J’imagine que tu dois être bien ...

... humide… Je me trompe ?— Non… J’arrivai à peine à parler, l’excitation n’aidant pas. Les minutes défilèrent, l’envie augmenta en moi, le plaisir de me donner sans être vue, mais épiée tout de même, exhibant sans pudeur mes gémissements de plaisir… Le plaisir s’accentuait encore, impossible de réprimer les petits « Oh ! » « Ah ! » d’extase. Impossible de dissimuler ce plaisir de m’offrir à ses oreilles. Lorsque je fus prête à jouir, il m’encouragea, me donna encore ses directives : plus vite, non attends, reste sans bouger, du bout des doigts… Je n’en pouvais plus, et je jouis bruyamment, le plaisir étant plus fort que tout. Je mis quelques minutes avant de reprendre mes esprits, je le remerciai, encore et encore. — Et si tu venais près de moi, ce serait mieux pour me remercier, tu ne penses pas ? Aussitôt dit aussitôt fait : à la douche, un pantalon, un t-shirt et zou, je sonne à sa porte. Il m’accueillit d’un sourire assez moqueur, et il me scruta de bas en haut : — C’est ce que je préfère, les joues rosées par le plaisir. J’ai tendance à avoir les joues qui rosissent après un orgasme, mais bon, il n’y a pas que ça non plus. Du haut de mon mètre soixante, je ne faisais pas le poids face à Éric (grand, très grand - j’adore). Il regardait mes yeux noisette qui pétillaient, mes lèvres, mes cheveux qui tombaient sur mes épaules, ma poitrine, mes hanches. Au lieu de me demander d’entrer, il me prit par le bras, assez fortement, me plaqua à la porte fermée et m’embrassa. Malgré la ...