1. Une matinée orgasmique


    Datte: 20/02/2018, Catégories: f, fh, hplusag, voisins, profélève, complexe, vacances, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, pénétratio, attache, fouetfesse,

    ... diffuse. J’ai tout de même crié, sous l’effet de surprise. Il recommença ses caresses, sur chaque fesse, une main qui commença à pétrir, une envie qui grandit. Une nouvelle claque et un nouveau cri de ma part. Son sourire a disparu, et une simple parole, un mot : — Silence. Et il recommença encore, et encore, malaxant, fessant… quelle torture… Il écarta ses jambes, me fit allonger sur l’une. Je n’étais vêtue que de ma culotte, son t-shirt entourant mes poignets, offerte à son regard. Allongée de cette manière, je pus ressentir son sexe encore dur, très dur. — Tes fesses sont divines, sais-tu ? Douces, assez fermes, pas trop ni pas assez. Comme j’aime. Et un nouveau claquement… Il retira ma culotte et écarta mes jambes. J’étais très humide et il me le fit remarquer, il caressa l’intérieur de mes cuisses, effleurant à chaque instant mon sexe, ne voulant pas s’y attarder. Entre chaque caresse, une fessée. Méritée ? D’après vous ? Oui, méritée, je ne devais pas bouger, faire silence, mais le plaisir aidant, un simple gémissement était une torture, car un simple gémissement signifiait une fessée. Il continua un long moment ce petit manège, mes fesses devinrent rouges, et cela commençait à me faire un peu plus mal. Lorsque je le lui ai dit, il a ri, et m’a juste dit : — Mais c’est justement parce qu’elles te font mal que tu aimes la fessée, ma douce. Il a arrêté un court instant, et je voulus alors me relever. Mais il me maintint sur lui dans la même position. — Non, non, reste ...
    ... ainsi, je voudrais encore avoir cette vue… Après un petit silence, je l’entendis farfouiller dans le sac. J’avoue que la position n’était pas des plus confortables, mais bon, je ne pouvais (ne voulais ?) pas bouger. Il écarta mes jambes, et je sentis quelque chose de froid sur mes fesses, je n’ai pas compris tout de suite. Il le fit aller et venir d’une fesse à l’autre. Il écarta un peu plus mes fesses, il avait alors une vue quasi-parfaite de mon intimité, de mon sexe à mon œillet. Je sentis alors cet objet s’installer au niveau de mon sexe. Simple à reconnaître lorsqu’il l’actionna, un vibromasseur. Je me suis tordue dans tous les sens, car il l’avait actionné au maximum. Une horreur, un bonheur, les deux à la fois. Il frappa à nouveau sur mes fesses, me demandant le silence. Difficile, dans ces conditions ! Il laissa le vibro entre mes cuisses qu’il referma, il caressait mes fesses encore et encore, une claque ici, une claque là. J’ai essayé, mais plus cela s’activait entre mes cuisses et moins j’arrivais à réprimer mes gémissements. — Encore, tu en veux encore ? me demanda-t-il.— Oui, mais arrête ça, je t’en prie… Au lieu de cela, il continua son manège, et ce vibro simplement placé entre mes cuisses me rendait encore plus dingue. Il écarta mes jambes et arrêta la vibration. Il plaça alors le vibro à l’entrée de mon sexe, et l’enfonça doucement d’abord, puis lorsque le gland fut entré, il l’enfonça de toute sa longueur et je reçus en même temps une claque sur les fesses. ...