1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (1)


    Datte: 21/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Quand elle est arrivée chez moi, elle savait exactement ce qui l’attendait, deux jours entiers à mon unique service. Deux jours pendant lesquels, je pouvais donner libre cours sur elle et son corps. La règle était simple : Aucune limite dans sa soumission totale. On s’est rencontré un peu par hasard, par l’intermédiaire de ma sœur. Un petit souper entre ami, elle était là, pas un canon de beauté, rien à voir avec ce qu’on veut nous faire voir de la femme. Somme toute, elle était très banale, tout comme moi. Cela étant, la banalité cache très souvent un autre personnage, ce qui était notre cas à tous les deux. C’est sur le balcon que le sujet est venu sur la table, avec le récit de l’un des amis de ma sœur. Il nous racontait avoir fessé cruellement sa femme et s’étonnait qu’elle demande le divorce. Vu la manière dont il faisait le récit de cette fessée, avec mon expérience, je n’ai pu qu’approuver la demande de divorce formulée par sa future ex-épouse. Il n’était pas content jusqu’à ce que je lui explique en quelques mots le pourquoi de mon approbation. « Tu vois Jérôme, quand on veut jouer au SM, il y a une petite règle, le soumis domine toujours le Maître au moment du plaisir. Cela étant, si ta femme était ta soumise, ce qui ne semble pas être le cas, elle n’aimera pas et elle n’a pas aimé. Dans le cas contraire, en tant que soumise, si c’était une punition et non le jeu, elle n’aurait jamais divorcé. C’est tout un art, le SM, il ne suffit pas de fesser cruellement son ...
    ... conjoint pour en faire sa soumise ou son esclave. Dans mon cas, en tant que dominant, je suis plus souvent l’esclave des fantasmes de celles qui viennent chez moi. Mon plaisir, je peux bien le prendre pendant que je punis, certes, mais, vois-tu, ce qui m’intéresse, c’est de pousser, de repousser le limites de mes clientes, les faire jouir dans la soumission, pendant que je les supplicie ou après, en guise de récompense. Ok, elle m’abandonne leur corps afin de servir mes perversités, là encore, je ne jouis d’elle que sur un consentement mutuel. Maintenant, admettons, que vous, mademoiselle, admettons que vous soyez ma soumise, une soumise de tous les instants. Je suis en droit de vous punir à la moindre faute sans que je vous laisse la moindre chose de jouir. Par contre, il est fort probable que dans nos jeux, pendant que j’use et abuse de vous, vous soyez amenée à jouir et pour notre joie à tous les deux. Non, tu vois mon vieux Jérôme, t’es pas un dominateur, là, tu t’es juste fait passé pour un blaireau. Bon, je me rentre, demain je reçois. Salut sœurette, salut la compagnie. » Je me rentrais et à pied, je n’habite pas très loin. J’étais à mi-parcours quand elle est arrivée. Un peu secouée encore, elle me demande si réellement je punis des femmes contre rémunération. Je ris et aux éclats. « Je ne sais plus votre prénom, et c’est dommage. Oui, c’est mon métier. Pour tout dire, je suis le paria d’une famille de bien-pensant à cause de ça. Il n’y a que ma petite sœur qui me ...
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