Un inconnue découvre un paria dans sa famille (1)
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... comprend. Mais pourquoi cette question ? » « Simplement par curiosité. En tout cas, ce Jérôme, vous l’avez bien mouché, il est parti furieux après vous, juste après votre départ. » « Pas grave, il sait que j’ai raison. Je vous offre un dernier verre chez moi ? En tout bien tout honneur, je sais me tenir. Je ne suis pas le sadique que l’on prétend que je sois. » Elle accepte. Dans mon loft, elle semble encore plus secouée, plus…étonnée ? Non, c’est bien plus que ça, intriguée serait plus juste, quoique….interloquée, oui, c’est ça, interloquée, c’est ce qu’elle était. Mon loft est dédié au sexe, de celui de monsieur et madame tout le monde aux vices les plus fous. Je la regardais visiter mes six pièces dédiées au sexe. Il n’y a que ma chambre qui ressemble à un chambre à coucher…disons civilisée. Me fixant, elle prend le verre que je lui tends. « C’est bien votre sœur que j’ai vu sur cette photo, dans votre chambre ? » « Oui, nous avions quoi, elle dix-neuf et moi trois de plus. Je n’étais pas ce que je suis, pas encore. Mais j’aimais déjà jouer avec les cordes, c’est ma passion. Je l’avais attachée sur cette barrière, c’est chez nos grands-parents. Oui, Isabelle vous en dira plus que moi. Je préfère que ce soit elle qui vous raconte. Chez moi, vous ne verrez jamais couler le sang, par contre, pour les plus masochistes, vous verrez des marques profondes, des marques qui ne disparaissent qu’après un mois, peut-être plus. Du sang, si, quand je joue avec des aiguilles. Mais je ...
... ne peux en dire davantage sous peine de rompre le secret que je dois à mes clients. Venez, je vais vous faire la visite guidée de mon donjon. C’est mieux que toute seule. » Pièce après pièce, je lui explique le déco de chacune, disons, pour faire court, que chacune de mes chambres est sur un forme de soumission, de la plus douce à la plus hard. Plus nous parlions, plus je répondais à ses questions, plus je la sentais désireuse de faire une tentative. Je la pensais assez capable de me mettre au défi, la faire jouir en jouant au papa pervers. Dans mon salon, je lui montrais les différents contrats que je proposais, leur degré de jeu, les durées envisagées, tout le toutime pour encore faire court. « Une question, vous n’avez pas de femme de ménage ? » « Si et elles paient pour tout me faire. Chaque jour une soubrette différente, enfin presque. Les week-ends, parfois deux, jusqu’à quatre dociles petites servantes. Je vous vois venir, mes soumises, sont-elles de belle femme, et bien non, il y en a et des très belles, mais cela peut-être votre concierge, votre voisine, votre sœur ou votre cousine et peut-être même votre maman. C’est n’importe qui pour tout dire, même votre meilleure amie. On ne porte pas les signes qui nous différencient des autres, ça, c’est en nous. C’est différent pour un couple où l’un impose à l’autre de manière presque permanente. » « Je vois. » Elle termina son verre, me chipa un contrat, le plus hard de tous qu’elle glissa rapidement dans la poche de son ...