Un inconnue découvre un paria dans sa famille (1)
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pas s’assoir sur sa robe. Elle rougit et s’exécuta. Dès lors, je la savais prête à se soumettre. En signant mes documents, elle le fit sans en faire une lecture complète, presque à l’aveugle. Il allait être l’heure de passer à table, je l’invitais au restaurant, celui où j’y ai ma table. Un coup de fil plus tard, nous étions assis côte à côte, chacun sur sa chaise. Très vite, je fis non de la tête quand elle voulut s’assoir normalement. Elle releva l’arrière de sa robe, ce détail n’échappa à l’ensemble de la table voisine. Quant au personnel du lieu, il me connait bien et c’est très loin d’être une première pour moi, comme pour eux. Certains peuvent même se targuer d’avoir pu baiser l’une ou l’autre de mes clientes dociles et ne le regrettent pas, mon pourboire en somme. Durant le souper, je la sens très humble, terriblement docile. Mais aussi très enjouée, ce qui est très loin de me déplaire. Cela étant, je la teste, je repousse déjà quelques-unes de ses limites, comme de dévoiler ses cuisses en remontant sa jupe d’un peu à chacune de mes demande. À la fin du repas, devant ce restaurant, nous nous séparons. Rendez-vous est pris, je l’embrasse en glissant ma main sous sa robe, dévoilant ses fesses à tous les passants, mon majeur appuyant sur son anus. Elle ne se refuse pas, sa mouille coulant sur ses cuisses me le prouve. Pendant un mois, elle m’envoie régulièrement un texto, un par jour. Dans ses messages, elle me dit ce qu’elle fait et pourquoi, si elle jouit ou pas. je ne ...
... lui ai rien demandé de tel, non, pour moi, c’est dans une semaine que commence son weekend chez moi. Aussi, le lundi précédent son arrivée, je lui fais parvenir une longue lettre dans laquelle je lui fais part de mes exigences et elles sont non négociables. Pour toute réponse, je reçois un court texto qui me dit qu’elle est prête et accepte tout. Jeudi, j’ai agendé l’arrivée de deux clientes pour une journée entière sous mon joug à faire l’entier de mon ménage. Deux amies qui ne font rien l’une sans l’autre, deux petites perles de lesbienne qui ne viennent chez moi que pour me subir et se faire baiser par le seul homme qu’elles acceptent, moi, sans aucune vanité. Vendredi, dernière inspection de mon loft, avant le départ de ma cliente, une masochiste qui aime les coups qui font mal. Elle m’a tout repassé, rangé et subit mes poings, mes baffes et le fouet. Disons qu’elle aime les interrogatoires particulièrement musclés, en plus d’être une excellente suceuse de bite et une merveilleuse lécheuse de cul. Il va être 16 heures, elle ne devrait plus tarder. Je me regarde encore. J’ajuste ma cravate, mon gilet, mes boutons de manchettes. Elle m’a voulu en homme du monde, elle va être servie. Elle désire que je la traite comme une gamine en jouant le père sévère, intransigeant. Mes mains sont déjà prête pour sa première fessée, une fessée que je veux jouissive en guise d’encouragement. Ça y est, elle sonne, j’ajuste mon veston, mes chaussures brillent, j’ouvre sur une grande fifille, ...