Un inconnue découvre un paria dans sa famille (1)
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... l’air déjà coupable. Délicieuse femme que je devine apeurée. Le jeu peut commencer. Je l’attrape par son bras, la force à entrer, jette son sac de voyage au loin, la force à aller au salon, la penche, remonte sa robe, arrache sa culotte, la couche sur mes cuisses et la fesse en force. J’alterne entre méchantes claques et caresses intimes. Je sens son sexe devenir humide puis entièrement détrempé. J’insiste, fesse plus fort, appuie moins mes caresses, titille vulgairement son anus, le pénètre. Elle pousse un petit cri quand mon pouce pénètre son cul. Je le branle en fessant de l’autre main. Cinq, dix, vingt minutes et elle jouit longuement, son plaisir est immense, son râle est à la hauteur de son orgasme. Je lui laisse un peu de répit, j’en profite pour lui faire lecture de mon scénario. Le cul nu devant moi, elle semble sourire, se réjouir de mes idées vicieuses. Sa poitrine m’attire, elle est volumineuse. Je la dénude, déchirant sa petite robe printanière. Elle est maintenant entièrement nue. Je lui lance une longue baguette de noisetier. « Tu la tiens à bout de bras au-dessus de ta tête. Ensuite, tu vas sauter en l’air, joignant et écartant tes pieds en alternance. Aller, saute ! » Elle commence à sauter, après cinq ou six fois, elle s’arrête, premier coup de cravache, elle recommence, compte, sa poitrine saute avec elle, décrivant des cercles qui sont inversé d’un sein à l’autre. Ma cravache la motive. Dix minutes à sauter, une dizaine de coups de cravache, peu fort, je ...
... le concède, mais ce n’est qu’une mise en bouche, un apéro. Elle me sent derrière elle, je caresse sa chevelure, son dos, sa croupe. Quand elle s’arrête, ma cravache se fait plus rude et elle reprend aussitôt. Au troisième arrêt, je me montre plus sévère, j’ajoute des pinces à linges sur ses seins. Une petite dizaine qui forme une fleur sur chacun de ses seins lourds. La voilà qui saute à nouveau, je m’installe confortablement, une bière à la main, la cravache dans l’autre. Je la vois qui commence à transpirer, mon but. Elle ne fait guère d’exercice et ça se voit. Elle saute, bien en face de moi, déjà une bonne dizaine de minute. Ma cravache se glisse entre ses cuisses. La bouche ouverte, elle cherche son souffle et j’en profite pour me moquer de sa condition physique. Une bureaucrate qui oublie son corps, c’est dans mes cordes, seulement, cela va demander plusieurs séances. Je ne crois pas qu’elle voudra en rester là si je m’y prends bien. Il est vrai que…pardonnez-moi ! « Saute plus haute ou je te fouette plus fort avec plus de pinces ! » Je disais que c’est, je le crois, la seule "cliente" qui ne cherche pas à m’imposer ses orientations. Pour elle, tout est nouveau, il ne s’agit pas d’une soumission cachée au très fond de son âme, ce n’est pas non plus une pervertie. Non, elle, c’est une femme banale, qui mène une existence banale sans avoir trouver une âme sœur banale. C’est-à-dire qu’il y aurait une place à prendre, celle du conjoint. Voilà, les pinces font leur effet, ...