1. Alain & Pascale - Le Matelot


    Datte: 22/02/2018, Catégories: fhh, hplusag, jeunes, extracon, grossexe, vacances, bateau, toilettes, amour, volupté, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus,

    Elle se réveilla en sentant quelqu’un monter sur la couchette, derrière elle. La peur qu’elle avait ressentie tout de suite s’effaça quand, en relevant la tête, elle vit Alain assis dans le fauteuil, près du lit. La lumière du clair de lune à l’extérieur de la cabine lui permettait de voir le sourire qui illuminait le visage de son amant. Et puis elle sentit que l’on tirant le drap qui la recouvrait et sous lequel elle était nue. — Surtout ne te retourne pas." lui intima Alain, d’une voix ferme et calme. Elle se sentait complètement exposée au regard de celui qui avait enlevé le drap. Son dos, ses longues cuisses fuselées dorées par le soleil, ses fesses creusées de deux fossettes au creux des reins. Une bouffée de honte la submergea et elle serra les cuisses pour cacher son sexe qui baillait contre les draps sentant la lavande. Son cœur battant la chamade, elle lutta contre l’envie de se recroqueviller pour mieux se protéger. — Comment tu la trouves, matelot ? Beau cul, hein ?" Dans la voix d’Alain il y avait autant de gouaille que de fierté. Il avait enfin mis en scène un de ses plus chers fantasmes, qui conclurait sur un point d’orgue le week-end en mer qu’il avait organisé avec sa jeune maîtresse. L’excitation qui lui lancinait les reins provoquait en lui une érection douloureuse, plus forte qu’aucune de celles qu’il avait connu ces dernières années.— Che bella ! répondit une voix étranglée par l’émotion. C’était bien Guido, le jeune matelot.— Vas-y, touche là ! ...
    ... encouragea-t-il. Tu en meurs d’envie, je le sais !" Au bout d’une attente presque insoutenable, Pascale sentit deux mains fortes, sèches et calleuses, se saisir de ses hanches pour la tirer en arrière. Agrippant l’oreiller, elle enfonça son visage dans le duvet pour étouffer un gémissement d’anticipation. À l’arrière de ses cuisses, le contact brûlant d’un corps musclé et noueux faisait sourdre en elle un désir qui la laissait molle et pantelante. Elle se laissa faire, abandonnée au désir presque malhabile de ces mains qui semblaient n’avoir pas connu de femme depuis des mois. Presque rudoyée par le matelot, Pascale jouissait de se sentir comme un objet, une poupée de luxe comme jamais l’homme derrière elle, dont elle sentait le sexe lourd et brûlant posé dans la raie de ses fesses, n’avait rêvé posséder. Elle sentit les mains de l’homme la palper, contourner ses fesses, palper la douceur élastique de ses hanches, griffer doucement ses longues cuisses qu’elle écarta subrepticement, se cambrant davantage. Les plis de sa vulve s’ouvrirent et libérèrent les effluves de son désir, et Pascale sentit avec délices une goutte de cyprine couler le long de sa cuisse gauche. L’index de l’homme se posa sur son anus plus glissa vers le bas, raclant les chairs délicates. De son ongle court et épais, il écartait les poils emmêlés qui protégeaient la fente humide de la jeune femme. Quand son ongle buta contre le clitoris exacerbé, Pascale poussa un cri bref et se cambra encore plus, si possible. Elle ...
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