1. Alain & Pascale - Le Matelot


    Datte: 22/02/2018, Catégories: fhh, hplusag, jeunes, extracon, grossexe, vacances, bateau, toilettes, amour, volupté, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus,

    ... sentait son cœur battre à ses tempes, se demandant si tout cela était réel. Elle entendit le choc des doigts sur une boîte en carton, puis le bruit d’une enveloppe de plastique qui se déchire. L’odeur familière du caoutchouc frappa ses narines comme signalant l’imminence de la pénétration. Elle releva la tête et chercha le regard d’Alain. Son amant la regardait avec une fascination douloureuse. Le spectacle du jeune mannequin au corps athlétique et bronzé, offert sur la couchette de son yacht à la lubricité d’un jeune marin musclé et monté comme un dieu, le bouleversait. Le contraste entre la blondeur botticellienne de Pascale et les traits burinés du jeune Méditerranéen donnait à la scène qui se déroulait sous ses yeux une violence érotique insoutenable. Les grands yeux verts de Pascale étaient mouillés d’émotion et pleins d’amour. La bouche entrouverte, elle semblait au seuil d’un cri d’impuissance, tant les messages de son corps la conduisaient à la lubricité. Dépouillée de son maquillage sophistiqué et des tenues en lamé d’or dont Alain la parait pour parader avec elle dans les dîners mondains, elle se sentait complètement nue et vulnérable, en prise à ses instincts. "Je me sens femelle" se répétait-elle intérieurement, en boucle, au même rythme que ses reins pris d’une houle sensuelle dansait devant le sexe du jeune matelot. Pascale se mordit la lèvre inférieure en sentant le gros gland turgescent se poser comme une braise sur sa fente humide. Il la pénétra d’un coup, ...
    ... jusqu’à la garde. Elle cria, d’une voix rauque. Pour apaiser la douleur de la pénétration sauvage, elle appuya ses fesses contre le bassin de son amant, laissant aux pulsations de son vagin le temps de s’ajuster aux dimensions massives de la colonne de chair qui la violait. Progressivement, les ondes de douleurs laissèrent place à des frémissements de plaisir, au même rythme que ses ruisseaux intimes. Quand elle rouvrit ses grands yeux verts, Alain se tordait les mains, presque convulsé de plaisir sur son fauteuil. Ses yeux mouillés disaient son émotion et la gratitude qu’il éprouvait pour le magnifique spectacle que ces deux corps jeunes et pleins de santé lui offraient. En serrant les cuisses sur son sexe douloureusement bandé, il espérait ne pas éjaculer trop vite dans son pantalon. A l’âge du jeune matelot, Alain n’avait été qu’un étudiant boutonneux, dont les succès académiques compensaient tant bien que mal la solitude et les échecs sentimentaux. Aucune de ses camarades féminines n’avait eu de pitié pour la libido inassouvie du jeune provincial fauché qui se masturbait avec ferveur sur les pages de PLAYBOY et d’autres revues pornographiques qu’il cachait sous le petit lit de sa chambre de bonne, aux murs tapissés de posters de bateaux de luxe. Aucune, même pas Sylviane, une somptueuse blonde frisée aux immenses yeux verts, qui appréciait suffisamment sa compagnie pour le laisser résoudre ses problèmes de mathématiques et de physique. Un jour, au restaurant universitaire, ...
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