1. Alain & Pascale - Le Matelot


    Datte: 22/02/2018, Catégories: fhh, hplusag, jeunes, extracon, grossexe, vacances, bateau, toilettes, amour, volupté, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus,

    ... la beauté blonde avait rejeté d’un éclat de rire la déclaration malhabile d’Alain. Il allait être diplômé dans quelques mois, diverses propositions d’embauche aussi prestigieuses les unes que les autres le laissaient augurer d’un avenir facile et peut-être qu’ensemble… Non, Sylviane était follement amoureuse d’un fils de diplomate argentin avec qui elle s’affichait dans les couloirs de l’école presque au mépris de la pudeur. Le bruit courait qu’elle s’était fait sauter dans les toilettes un après-midi, histoire de faire passer le stress des examens. Ceux qui avaient bénéficié de la primeur de ses gémissements de bonheur, alors qu’elle s’empalait allègrement sur le bel hidalgo assis sur la cuvette des WC, en étaient restés marqués à vie. Le beau Rodrigo avait la réputation d’être monté comme un étalon, et ne se gênait pas pour en faire profiter toutes celles (et même ceux, selon certaines rumeurs) qui en manifestaient l’envie. Pour Alain, la vie avait suivi son cours. Marié jeune à une amie de ses cousines, le jeune et brillant ingénieur avait vécu une vie conjugale monotone, apportant à son épouse tout le soutien que méritait un équilibre psychologique fragile (prétexte aisé pour une femme vénale qui trouvait là le prétexte idéal pour ne pas se livrer à la lubricité de son époux). Les années avaient passé sans qu’il réalise les rêves d’harmonie conjugale et sexuelle que son adolescence avait formulés. Deux enfants étaient arrivés, une fille très conformiste et un fils qui ...
    ... avait pris un tout autre chemin que son père, en embrassant une carrière artistique et une vie de bohême. C’est lors du vernissage d’une des expositions de son fils qu’Alain avait rencontré Pascale. Sa ressemblance avec son amour de jeunesse était frappante. Toutes les deux étaient de grandes blondes, athlétiques, avec des traits fins et à une bouche sensuelle. Cependant, ce qui était morgue insolente chez Sylviane était remplacé chez Pascale par un je-ne-sais-quoi de douleur muette au fond du regard. Divorcé de sa femme depuis quelques années (il l’avait trouvée, un bel après-midi, en train de se faire vigoureusement sodomiser par son instructeur d’aérobic dans le lit conjugal) Alain avait récemment cédé son entreprise d’ingénierie chimique à un groupe américain pressé de s’implanter en Europe. Les millions d’euros de la transaction lui avaient offert une vie plus que confortable et de quoi satisfaire quelques rêves de jeunesse. Pascale, qui était devenue sa maîtresse moins d’une semaine après leur rencontre, avait été la première personne qu’il ait invitée sur son yacht flambant neuf, ancré dans le port de Nice. A leur arrivée sur la marina le samedi matin, Alain avait surpris avec un pincement au cœur les regards que sa maîtresse avait glissés à Guido, le jeune matelot qui assurait l’entretien de son bateau. Alain ne se faisait aucune illusion sur les sentiments de Pascale à son égard. Au mieux, il était un père de substitution, un point d’ancrage pour une jeune femme encore ...
«1234...»