Enfin un peu de soleil
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
Oral
fsodo,
amourpass,
... nous.— Mais si je vous tutoie, vous allez devoir m’enculer ?! répondit-elle entre deux halètements de plaisir.— Ne t’inquiète pas, je t’y autorise : ça n’aura pas de conséquence.— Oh mais non ! J’ai envie de sentir cette queue dans mon petit trou. Je veux que tu me baises le cul. Explosion d’excitation dans mon cerveau. Comment ne pas jouir à ce moment précis, comment ne pas être terrassé par l’orgasme ? C’est simple : la perspective de pénétrer ma salope par son petit trou ne me l’autorisait pas. Pas encore ! Bien que transporté dans un autre monde, déconnecté de cet univers, je gardais un lien, une pensée avec la réalité. Dans quelques instants, je serai en train de sodomiser cette fille si belle, si excitante, et à ce moment précis à la fois soumise et maîtresse de ses envies. La perfection. — Si tu veux te faire enculer, ma puce, alors j’arrive. Ma queue est toute à toi. Je posai mon gland contre sa rondelle (auparavant bien lubrifiée et préparée) et restai ainsi quelques instants, immobile. Je profitai de ce moment, en savourai chaque instant. La perte d’une nouvelle virginité, pour elle comme pour moi. Je me sentis soudainement très petit, insignifiant. Et en aucun cas légitime de cet honneur. Ma confiance de macho dominateur m’avait été accordée généreusement par Lili en cette soirée toute particulière. En effet, selon moi, une fille n’est pas soumise si elle cesse de se respecter, si elle oublie le pouvoir immense qu’elle a sur son partenaire. Lili avait beau ...
... accueillir ma bite dans sa bouche comme une vraie suceuse de queues, elle avait beau se faire doigter le cul sans ménagement, il aurait suffi d’une parole ou d’un regard de sa part pour que je perde de ma superbe, pour que je la prenne dans mes bras et me fasse son serviteur. Si un instant je la baise sauvagement en levrette, celui d’après je m’écrase comme un maraud devant sa reine parce que je lui ai provoqué une douleur imprévue. Or à ce moment précis, je me sentais comme ce maraud. Un insecte devant la reine étoilée… Une sensation que je connaissais bien me tira de ce gouffre. Lili, les mains toujours attachées dans le dos, avait réussi à se retourner et me léchait le bout du gland, avant de le prendre entièrement en bouche. Appréciant ma réaction, elle leva les yeux vers moi : — Tu avais l’air paralysé ; je me suis dit que tu avais peut-être besoin que ta salope te suce pour te détendre avant que tu ne l’encules comme une pute.— … Je ne savais quoi répondre. Quel bonheur ! Mais je ne devais pas lâcher mon rôle, car c’est aussi – et surtout – à elle que cette situation plaisait. — Bien pensé. J’apprécie toujours une petite pipe de la part de ma suceuse attitrée. Alors suce. Je lui attrapai la tête à deux mains et lui fourrai la bouche sans ménagement. En même temps que je forçais l’entrée de ses lèvres, je lui claquai les fesses avec un mélange d’excitation et de honte. Mais quelle honte délicieuse ! — Maintenant, reprends ta position. Présente-moi ton petit trou que je t’encule. ...