Ciné folie Chapitre 1(Trouvee sur le net)
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Hardcore,
... ventre, étalant, massant le foutre jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. A ma gauche, le sexagénaire, très galant, essuie ma cuisse avec des mouchoirs en papier et une fois fait, je repose enfin ma jambe au sol. Je me redresse, baisse mon pull, réajuste ma jupe et me penche pour ramasser mon manteau. Mes cheveux sont agrippés par une poigne puissante et le sadique me tire violemment vers sa queue encore sortie. Elle est encore raide et très dure. Il la frotte sur ma bouche, tout en appuyant pour forcer le passage. Toujours par peur du bruit et pour éviter d’être remarquée, je cède. .Le membre envahi ma bouche et exécute un va et vient. Il a encore le goût du sperme. Il va vite. Il va fort. Puis je le sens gonfler encore, par petits coups et soudain, il se vide de nouveau, remplissant ma bouche d’une giclée grasse et chaude. La main qui appuie sur ma tête, ne me donne pas d’autre alternative que d’avaler. La pression sur mon crâne se relâche. Je ramasse mon manteau, me lève, passe précipitamment devant le papi, qui ne manque pas de me remettre la main aux fesses. Je manque de tomber et arrive devant la porte au hublot. Toute tremblante, j’enfile mon manteau et jette un dernier regard à la salle pour voir si je ne vais pas être suivie et là… stupeur! Dans la rangée derrière mes deux compères, sont assis cinq hommes. Ils me dévisagent. Il ne fait aucun doute qu’ils ont matés tout le long. Le rouge remonte à mes joues.Machinalement, avant de pousser la porte, je porte ma main à ...
... mes lèvres. Je sens, à une de mes commissures, un peu de sperme qui commence à sécher. Si ça se trouve, j’en ai partout. Impossible de sortir ainsi. L’idée de monter aux toilettes ne m’enchante pas, mais après tout, je suis une grande fille et je saurai me défendre s’il le fallait. Je longe, donc, la salle en direction de l’escalier, la tête baissée, en espérant qu’il n’y aura pas brusquement une image trop claire, qui anéantirait la discrétion dont j’essaie de faire preuve. C’est une fois dans l’escalier, que je me rends compte que de toute façon, on est obligé de me voir et de repérer que je suis une femme. Je veux juste vérifier mon apparence dans un miroir et repartir. Cela ne me prendra que quelques secondes. Je pousse la porte. Un couloir part vers la droite. Au bout un homme fume, adossé au mur, face à l’entrée des toilettes hommes. Mais avant cela, il y a une porte à deux battant, style western, indiquée comme étant les toilettes femmes. Je pousse les battants. Je suis de suite surprise par la propreté des lieux. Ces messieurs respecteraient t’ils cet endroit?J’en suis très étonnée, mais ravie. Au dessus d’un lavabo nickel, il y a un miroir. Je me penche et inspecte mon visage. Tout va bien, il n’y a rien. La netteté de l’endroit me fait oublier que je suis dans un lieu peu fréquentable, et je décide de profiter de ma présence ici pour assouvir un besoin bien naturel avant de reprendre le métro. Je pousse la porte d’une des trois cabines disponibles, et m’assied après ...