1. Ciné folie Chapitre 1(Trouvee sur le net)


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Anal Partouze / Groupe Hardcore,

    ... avoir déposé des feuilles de papier sur la lunette. Les coudes sur les genoux, je me perds un peu dans mes pensées. Un frôlement sur mes cheveux près de mon oreille gauche, me fait sursauter et je me redresse d’un bond. Je n’en crois pas mes yeux. Un sexe sort de la cloison, raide, dur, semblant me défier. Je n’avais pas remarquée ces deux trous de chaque cotés en entrant. Je ne sais plus quoi faire. Mon instinct me fait regarder dans l’autre. Je crois mourir en voyant un oeil me regarder. Paniquée, je me lève et tire la porte pour m’enfuir. Mais je n’y parviens pas. Elle semble bloquée de l’extérieur. L’oeil est maintenant remplacé par un membre, tout autant dressé que l’autre. J’ai trop peur. Je tambourine à la porte, suppliant qu’on me laisse sortir, menaçant même d’aller tout droit chez les flics. Une voix venue de je ne sais ou, m’informe qu’un mode d’emplois pour ouvrir la porte est indiqué sur celle-ci. Ce que je lis me consterne. Je n’aurais jamais crus que l’être humain pouvait être autant tourmenté. Entouré au feutre, effectivement, il y a un mode d’emplois, griffonné au stylo, presque effacé.« Si la porte est bloquée, vous interdisant la sortie, veuillez vous rasseoir.Astiquez correctement le ou les braquemarts qui vous sont présentés, suivi d’un pompage intense et complet.Seule l’exécution parfaite de ces recommandations débloquera la porte.Un refus, des insultes ou des cris provoquerait la colère de vos bienfaiteurs. »Je suis scotchée. Je lis et relis ce que ...
    ... je pense être des conneries. Mais les deux choses qui me frôlent les cuisses sont bien réelles.« Arrêtez vos conneries maintenant… Laissez-moi sortir! »« Tais-toi! On t’a vu dans la salle. T’es une bonne salope. Tu peux le faire. »Mes pauvres jambes ne me tiennent plus, elles tremblent trop. Je repose mes fesses sur les bouts de papier toilette, et ne sachant que faire, je prends ma tête dans les mains et commence à verser quelques larmes en silence. Mais qu’est ce que je fais ici? Comment en suis-je arrivée là? La réponse me parait tellement évidente. Je l’ai tout simplement cherché. A moi d’assumer. Facile à dire, mais je crois que je n’ai plus le choix. Du bout des doigts je touche une seconde les membres violacés. Ils réagissent de suite en relevant la tête. J’essaie de minimiser la situation. Ce ne sont que des bites après tout. Pas très convaincue par ma réflexion, je les empoigne tout de même et avec douceur commence à appliquer le premier paragraphe du mode d’emplois. Leurs contacts, leurs chaleurs, leurs duretés et leurs douceurs ne me laisse pas longtemps de marbre. Un trouble étrange m’envahi. Mes lèvres sont irrémédiablement attirées par ces deux bourgeons prêts à exploser. Je m’approche du premier et l’enveloppe de ma bouche. Derrière la cloison, un râle de satisfaction se fait entendre. Après plusieurs minutes, sentant le dénouement trop proche, je le délaisse, comme pour faire durer le plaisir, et engloutie l’autre qui n’avait pas quitté ma main.A suivre... 
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