L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
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... que j’allais préférer était la « salle d’école », ainsi nommée parce qu’elle contenait tout ce qui était nécessaire pour apprendre et expérimenter toutes les formes du plaisir sexuel. Ainsi, un ordinateur contenait des dizaines de vidéos pornographiques, et sa souris n’était pas qu’un simple galet blanc, mais reproduisait fidèlement le sexe d’une femme, avec ses grandes lèvres et son bouton d’amour qu’il fallait manipuler de l’index. Des accessoires, godemichets de différentes tailles que Vladim me présenta tour à tour lui-même, permettaient d’expérimenter certaines scènes des vidéos de l’ordinateur. Des livres, des revues enfin, des photos, tout était prévu pour que je puisse compléter mon « éducation ». Là encore, Vladim avait tout organisé, et ces premières semaines s’écoulèrent ainsi : le matin, je pouvais m’occuper de mon corps en faisant du sport, en nageant, allant au spa ou à la salle de gym qui était à deux pas de l’appartement – ou passer au salon d’esthétique et de massage. Pendant ce temps, une femme de ménage et une cuisinière s’occupaient de l’appartement (à l’exception de la « salle de classe », où seuls Vladim et moi pouvions entrer), préparaient des repas soigneusement choisis pour leurs saveurs, délicieux et souvent fortement excitants – comme les boissons qui, comme le champagne, avaient des pouvoirs aphrodisiaques, puis s’en allaient à mon retour, en fin de matinée. Bien souvent aussi, Edmonde venait m’essayer les nombreuses tenues que Vladim m’offrait. ...
... Toutes me mettaient en valeur, mais je préférais les « tenues d’intérieur » aux tenues « de sortie ». Les premières consistaient souvent en des pièces de lingerie fine, sans autre forme de procès, transparentes ou brodées, qui allaient de la plus sage à la plus coquine – et semblaient parfois sortir droit d’un hors-pair, pour les plus osées. L’une d’entre elles ne consistait d’ailleurs qu’en de fins liens de soie noire, qui entouraient ma poitrine comme l’aurait fait un soutien-gorge, mais en laissant mes seins nus – avec une ceinture noire, en velours, large de dix centimètres, qui m’enserrait la taille, un minuscule slip de soie noire fendu à l’entrecuisse pour permettre l’introduction des doigts ou de la bite de l’homme, des bas de résille noire retenus par des jarretelles reliées à une guêpière qui ne me couvrait pas les reins, et enfin des chaussures à talons vertigineux (au point que je dus m’exercer longtemps, devant le miroir, avant d’arriver à marcher correctement – mais elles me donnaient une allure impériale et un balancement des reins incomparable)… Dans la salle de classe, si je le désirais, je pouvais ajouter des liens, des colliers de satin qui cachaient mon cou mais laissait ma gorge apparente, porter de lourds bijoux qui représentaient des attributs sexuels et que je laissais pendre entre mes seins… Pendant de longues heures, je m’apprêtais ainsi pour le retour de Vladim : je me coiffais et vaporisais de lourds parfums capiteux dans mes cheveux, je m’épilais ...