1. L'apprentie


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple,

    ... pourrait retourner « voir ailleurs » (tant de femmes étaient folles de lui, je ne le savais que trop) pour assouvir ses besoins, malgré tout l’amour qu’il avait pour moi et le plaisir que nous nous donnions ensemble. L’inconnu, la surprise, la gêne de ses partenaires parfois, augmentaient chez lui le plaisir… Et ma jalousie était telle, mon amour pour lui était si exclusif que je ne pouvais admettre même en pensée qu’il baise une autre femme que moi… L’examen me remplissait donc, à la fois, de crainte et de désir, et je préparais mon corps encore plus longuement ce jour-là que les autres. L’examen… Le soir fatidique, sitôt rentré, Vladim me parut moins tendre que d’habitude, mais je savais pourquoi : dans la journée, j’avais reçu différents textos qui m’avaient, comme à l’école on propose des « sujets », indiqué l’épreuve de mon « examen ». L’épreuve semblait simple, ne l’était pas tant que cela : je devais le faire jouir par et dans ma bouche, et aucun mot ne devait être prononcé pendant la séance… Certes, je savais désormais m’occuper de sucer Vladim, mais justement : il savait lui, se retenir pour garder son érection et me faire jouir autrement. Aussi, je devais absolument trouver une manière de gagner mon « épreuve », d’avoir, en le faisant décharger presque contre son gré. Il m’avait tant dit que j’étais, d’après lui, capable de faire jouir les hommes rien qu’avec ma bouche : je devais le lui prouver. Mais les trois mois que j’avais passés à me perfectionner dans les ...
    ... techniques du sexe me permirent de m’en tirer parfaitement. Car ce soir-là, habillée d’une longue chemise blanche qui, déboutonnée jusqu’au mont de Vénus, laissait entrevoir mon corps à chacun de mes mouvements, je m’agenouillai devant Vladim et lui défis doucement la ceinture, baissai son pantalon et son slip, et le branlai un moment, seulement avec les mains – sans le toucher de ma bouche mais en l’approchant, jusqu’à le frôler, de son gland dont je respirais l’odeur et dont je sentais la douceur de la peau, si fine à cet endroit. Quand sa pine, commença à se raidir, je me relevai, et approchai de lui un fauteuil, dans lequel Vladim, étonné mais respectant la règle du silence, s’assit. Je m’assis alors à mon tour en face de lui, sur une chaise à accoudoirs munie de coussins, que j’avais préparée à l’avance. Autour de nous, les miroirs triples renvoyaient notre image… Alors, me penchant à la diagonale de ma chaise et posant une de mes jambes sur un des accoudoirs, tandis que l’autre restait sur la chaise – écartant ainsi mon sexe, j’attrapai, derrière un coussin, un des godemichets de la « salle de classe », le plus gros de tous (que j’avais peine à contenir d’une seule main) et, sans dire un mot mais en regardant tantôt Vladim dans les yeux, tantôt mon propre reflet dans la glace, je me mis à jouer avec l’engin – le plaçant tout près de ma bouche entrouverte, le léchant, le faisant descendre doucement entre mes seins, enclenchant son mécanisme de vibration, enfin, en le ...
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