1. L'apprentie


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple,

    ... compris instantanément quel allait être mon cadeau : car Vladim avait placé devant les trois miroirs, lui aussi, une chaise spéciale, dont la forme me permettait d’être soutenue dans une position dite « à quatre pattes », en plaçant mon cul en hauteur. Je sus alors que Vladim allait me prendre en levrette, qui était de toutes, ma position préférée, et je commençai par l’en remercier en l’embrassant farouchement et longuement, pressant mon corps contre le sien et sentant son sexe à nouveau durcir. Il me souleva alors dans ses bras, et m’installa lui-même sur le siège de levrette, en caressant longuement mon cul et ma nuque, qu’il couvrit de baisers. Enfin, réglant la hauteur du siège pour que ma chatte soit exactement en face de sa queue, il m’enfila d’un coup (j’étais si excitée que je gémis de plaisir sous cette longue pénétration) et commença, à grands coups de hanche, ses va-et-vient réguliers. J’avais découvert cette position, la levrette, grâce aux premiers films pornographiques que j’avais visionnés – et autant les scènes de partouze ou de sodomie me laissaient de marbre, autant la première scène où une fille se faisait ainsi défoncer m’avait émue et excitée. Vladim, qui le savait bien, fourrageant ma motte, tournant son index autour de mon clitoris, s’amusait à sortir presque entièrement sa bite de mon con, attendant que je le supplie : — S’il te plait, oh s’il te plaît, reviens, enfonce-moi ta queue, mon con a besoin de ta pine, oh je t’adore mais continue, continue… ...
    ... oui, oui, comme cela, merci mon amour, défonce-moi la chatte… oh oui ! Je devais ainsi, pour lui plaire, prononcer ces quelques phrases crues, aux mots orduriers, avant qu’il ne vienne à nouveau enfoncer sa queue dans mon con ouvert – et j’avais des orgasmes à répétition dans cette position, surtout quand je nous regardais dans les miroirs : moi, allongée sur le siège spécial, les seins dressés, la main de Vladim pesant sur ma nuque pendant que mes cheveux dénoués traînaient par terre, le dos cambré au maximum et sa belle queue entrant et sortant, luisante et dure, de mon con brûlant. Ce soir-là, Vladim me lima sans relâche pendant plus de trente minutes, sans aucun arrêt, et me fit jouir coup sur coup, jusqu’à ce que je n’en puisse plus : je dus le supplier d’arrêter, mon sexe commençait à me faire mal de trop de spasmes répétés. Quand je me redressai du siège, me tournai vers lui en lui passant mes bras autour de son cou, je sentis que mes jambes tremblantes ne me portaient plus, pendant que mon jus de jouissance coulait entre mes cuisses… Mais Vladim ne s’arrêta pas pour autant : il me porta vers le lit, nous disposa dans la posture du « 69 » et, pendant que je reprenais sa bite luisante de mouille dans ma bouche, il me suça longuement le clitoris. Nous roulions de temps en temps dessus dessous, afin que chacun de nous puisse contempler, dans le miroir qui servait de ciel de lit, le corps enfiévré de l’autre. Et je nous trouvais des amants incomparables, lui avec sa taille ...
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