L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
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collection,
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Masturbation
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... nettoyé, et dès qu’il sera sec, vous pourrez le remettre et faire de nouveau bander tous ceux qui vous regarderont… excusez mes paroles, mais je dois dire que vous êtes si attirante que…— Laurent, je vous en prie, taisez-vous. Car je ne sais si je suis attirante, mais, pour dire vrai, vous l’êtes tout autant. Et si prévenant en plus… Mais auriez-vous un vêtement à me prêter, car je voudrais bien sortir de derrière ce paravent, et je suis à peu près nue ?— Écoutez, je crois qu’une de mes amies a laissé ici un peignoir, regardez bien, il est accroché à une des parois du paravent. Je trouvai facilement le peignoir en question, mais du coup, j’avais regardé le paravent, et j’en étais restée bouche bée. Car ce paravent était composé de panneaux qui reproduisaient des estampes japonaises très spéciales : ces fameuses images érotiques où des hommes aux sexes démesurés étaient environnés de japonaises finement dessinées. On aurait pu croire que c’était Vladim lui-même, de retour de son voyage au Japon, qui l’avait rapporté. Quant au peignoir « oublié par l’amie », dès que je l’enfilai, je le sentis parfaitement à mes mesures. Il était muni d’une large ceinture qui, si on la fermait (et elle seule se fermait) tendait le tissu sur la poitrine, et la dessinait aussi précisément que sous un « tee-shirt mouillé », comme sur les photos des magazines. De plus, le peignoir était fort court, laissant voir le haut de mes cuisses et très certainement, je n’avais pas intérêt à me pencher si je ...
... ne voulais pas en laisser voir d’avantage. Mais quand je sortis de derrière le paravent, je compris que Laurent ne pouvait s’empêcher de s’emparer, du regard, tout mon corps ainsi voilé si légèrement. Malgré moi, je ne pus m’empêcher de me redresser fièrement, et surtout, ce regard plein de désir éveillait mes sens. Cela faisait si longtemps, trop longtemps, que je devais me contenter d’ersatz : et là, devant moi, un homme me désirait, son pantalon largement bossué en témoignait, et ses mains étaient toutes prêtes à me prendre… Comme j’étais troublée ! J’avais dit à Vladim que je ne voulais connaître aucun autre homme que lui – mais je savais que lui, à l’inverse, aimait qu’un autre me désire. Certes, il voulait assister à mes éventuels ébats avec d’autres hommes, mais… Je n’eus pas le temps de finir mes réflexions, car Laurent, comme poussé malgré lui, m’avait prise dans ses bras et m’embrassait profondément. Sa langue était bien plus brutale, moins tendre, moins chaude, que celle de mon mari. Mais je sentis cependant tout mon corps défaillir, surtout quand ses mains, écartant le léger tissu du peignoir, et défaisant les deux seuls boutons qui le retenaient, me dénudèrent. Laurent, très vite, mit sa main sur mon sexe et, beaucoup plus rapidement que Vladim ne l’aurait fait, me caressa l’entrejambe presque brutalement, avant de faire pénétrer ses doigts dans mon con, de les en faire ressortir et de les porter à ses lèvres, pour les lécher… Nous n’avions pas dit un seul mot, et ...